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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 15:55

PSA Peugeot Citroën a de nouveau reçu cette année le prix du "moteur international de l'année" dans la catégorie des moteurs de cylindrée 1,4 à 1,8 litre, décerné par le magazine " Engine Technology International".

 

Cette distinction récompense le moteur essence 4 cylindres 1,6 litre Turbo Injection Directe développé en coopération avec BMW et plus particulièrement la version 200 chevaux proposée sur les Peugeot RCZ, 308 CC, 308 GTI, Citroën DS4 et DS5.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 11:05

La direction de PSA  a annoncé "six nouvelles journées de chômage partiel en juin, sept en juillet et deux en août, ce qui, ajouté à la fermeture annuelle de quatre semaines, conduira à une fermeture du site du 18 juillet au 28 août", pour l'usine de Rennes-La-Janais, selon Erika Louis-Roy, responsable de la communication du site. "Nous sommes impactés par la nouvelle baisse de 7 % du marché automobile européen en cumul depuis le début de l'année".

 
 

Déjà un mois de chômage en avril dernier

L'usine, qui produit les PEUGEOT 508 et CITROEN C5, a déjà connu près de quatre semaines de chômage technique, du 17 avril au 13 mai, en raison d'un problème de fournisseur qui s'est ajouté à la faiblesse des ventes. Depuis le 2 mai, le site fait l'objet d'un plan social portant sur 1 400 suppressions d'emploi sur 5 500. La direction espère pouvoir éviter des licenciements secs grâce à des départs volontaires d'ici à décembre 2013, mais ses propositions ont été jugées "très décevantes" en l'état par les syndicats, lors d'une réunion avec l'État et les élus, le 24 mai.

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31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 14:43

PSA Peugeot Citroën pourrait être contraint de procéder à une nouvelle augmentation de capital en raison de la baisse persistante de ses ventes, a-t-on appris mercredi de sources proches du dossier.


"La situation est extrêmement difficile. Toutes les options sont sur la table", a déclaré une des sources, sous couvert d'anonymat

 

Selon cette source, la situation financière du groupe s'est détériorée au point qu'une augmentation de capital du même ordre de grandeur que celle de mars 2012, un milliard d'euros, est possible avant l'été.

 

"Je ne vois rien d'imminent mais c'est un vrai sujet", a dit une autre source. "PSA va-t-il atteindre les objectifs qu'il s'est fixés ? Si ce n'est pas le cas, il aura besoin d'argent frais."

 

En Bourse, l'action PSA perd 4,97% à 6,993 euros à 17h, à ses plus bas du jour, signant le plus fort recul de l'indice SBF 120 (-1,8%).

 

Selon des données Markit, le niveau de ventes à découvert - titres qu'un investisseur ne détient pas encore mais dont il anticipe la baisse - est remonté à 14% contre 11% début avril. A titre de comparaison, ce ratio est en moyenne de 6,9% pour le CAC 40.

 

PSA a démenti mercredi avoir actuellement besoin d'une augmentation de capital, une mise au point apportée après des informations de presse sur un prochain appel au marché.

 

Un porte-parole de PSA, interrogé par Reuters, a répondu : "Une augmentation de capital n'est pas d'actualité car la sécurité financière du groupe, à 10,6 milliards d'euros à fin décembre, est à un niveau élevé et elle a été renforcée au premier trimestre par le succès d'émissions obligataires."

 

Selon latribune.fr, qui cite une source proche du dossier, la question est "activement" discutée chez PSA et au sein de la famille Peugeot. "Aucune échéance n'a été fixée, mais c'est étudié concrètement depuis plusieurs semaines", ajoute Le Monde en citant un proche de la direction du groupe.

 

Le président du directoire de PSA Philippe Varin, lors du lancement des négociations sur la compétitivité du groupe en France, a déclaré qu'il ne commentait pas les rumeurs.

 

Une réunion du conseil de surveillance est programmée pour les 4 et 5 juin, a indiqué à Reuters une source proche de ce conseil, en ajoutant qu'elle ignorait si la question d'une augmentation de capital y serait évoquée.

 

"AMBIGUË"

 

"La question de l'actualité réelle d'une augmentation de capital est toujours ambiguë", commente un analyste du secteur automobile sous couvert d'anonymat. "PSA n'a peut-être pas un besoin urgent d'argent frais, mais l'année 2013 s'annonce encore délicate et les cessions d'actifs et les économies envisagées risquent de ne pas suffire."

Le groupe, pénalisé par sa forte exposition au marché européen, a encore vu ses ventes baisser de 10,1% en avril sur un an en Europe alors que le marché rebondissait légèrement.

 

PSA ne prévoit pas de retour à l'équilibre financier avant la fin 2014 et devrait perdre encore chaque mois cette année une centaine de millions d'euros de free cash flow opérationnel, hors exceptionnels, après une hémorragie mensuelle de 200 millions en 2012.

Philippe Varin, en ouvrant les négociations sur la compétitivité, a rappelé la situation difficile du groupe et insisté, après un plan social tumultueux, sur la nécessité d'associer en amont les organisations syndicales. Il n'a pas fait état des concessions et des contreparties envisagées.

Sur le modèle de l'accord de flexibilité conclu en mars chez Renault après six mois de discussions, PSA va rencontrer chaque semaine les syndicats jusqu'à la fin juillet. Les négociateurs se retrouveront en septembre et octobre, Philippe Varin espérant trouver un accord à l'automne prochain.

 

 

FAURECIA Le THEILLAY fournisseur de SEVEL  des ailes plastiques pour V

 

C'est à 8 h, hier, que 80 à 90 salariés de l'équipe du matin ont décidé de quitter leur poste de travail. Une façon de réagir aux annonces faites, jeudi dernier, sur le site solognot par la direction de Faurecia automotive composites (*). « Ils ont annoncé que nous allions perdre 10 à 15 % sur nos salaires et qu'il y aura une augmentation de notre temps de travail. De 35 heures par semaine, nous passerions à 36,40 heures à compter de janvier 2014 », explique  un élu CGT du comité d'entreprise. Ce dernier, comme ses collègues, a sorti sa calculatrice : « Pour quelqu'un qui touche 1.400 €, ça peut représenter une baisse de 150 à 200 €. » Ce sont les primes (prime d'ancienneté recalculée, suppression des primes d'équipe, d'insalubrité et de casse-croûte) qui sont visées.


Depuis des années, et au fil des groupes propriétaires (Ranger, Sora), l'usine de Theillay connaît des difficultés et subit les soubresauts d'une filière automobile chahutée qui les répercute sur les sous-traitants.


L'usine de Theillay compte aujourd'hui quelque 300 salariés en CDI et moins d'une centaine d'intérimaires. Mois après mois, les pertes financières s'accumulent, apprend-on. « Le chiffre d'affaires est en baisse, le matériel est vieillissant, pas entretenu. On a besoin de certains process pour faire bien au premier coup. Il y a beaucoup de rebuts dans tous les secteurs de l'entreprise. Que le groupe investisse sur le long terme pour pérenniser l'emploi. Ici, on a un site viable ! ».

 

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 00:30

De la même manière que son concurrent Renault il y a quelques mois, PSA Peugeot Citroën a ouvert ce mercredi un cycle de négociations avec l'ensemble des partenaires sociaux dans le but affiché de "trouver des solutions participant au redressement de l'entreprise et permettant de maintenir ses bases fortes en France". Photo 002

 

Les réunions avec les syndicats vont s'enchaîner jusqu'au mois d'octobre pour arriver à un accord de compétitivité des usines françaises. A travers l'initiative d'un nouveau "contrat social", PSA a l'objectif d'engager ses salariés, individuellement et collectivement, dans la vision stratégique et les projets d'avenir de l'entreprise afin d'en faciliter le redressement.

 

A l'occasion de cette première réunion, Philippe Dorge, le Directeur des Ressources Humaines de PSA, a déclaré : "Nous n'entamons pas aujourd'hui la négociation d'un simple accord de compétitivité. C'est une stratégie sociale novatrice visant à engager davantage les salariés sur la vision et les projets. Cette nouvelle approche vise aussi à définir ensemble les leviers participant au redressement et à la compétitivité de notre ancrage en France. Il s'agit enfin de renouveler le dialogue social pour anticiper les transformations, en cherchant à sécuriser l'emploi et les compétences".

"A l'issue de ce cycle de réunions, de juin à octobre, c'est un large consensus que nous souhaitons obtenir autour de ce Contrat Social", a poursuivi le DRH.

 

 

POSITION du GSEA

 

Communiqué de presse 149/13
Un nouveau contrat social pour PSA.



Le président du groupe PSA Peugeot Citroën a donné le coup d’envoi des négociations d’un nouveau contrat social en France pour contribuer au redressement du Groupe.


Ce contrat repose sur 3 objectifs :


- Faire partager la vision du groupe aux organisations syndicales et à tous les salariés
- Identifier ensemble les leviers de redressement de PSA et son ancrage en France
- Renouveler le dialogue social pour anticiper les transformations du groupe.


Le contrat social portera sur les salaires, la flexibilité, les surcapacités et le temps de travail.


Le GSEA s’est adressé au Président Philippe VARIN pour évoquer les contreparties qu’il entend négocier dans le cadre du contrat social. Ces contreparties portent sur l’emploi, l’avenir des sites, les solutions en faveur des séniors, l’amélioration des conditions de travail, la formation, la redynamisation de la GPEC avec un poids accru du comité stratégique. Le GSEA abordera ces négociations dans unelogique « gagnant /gagnant ».


L’avenir de l’automobile en France est fondamental pour le GSEA qui considère qu’un contrat social engage deux parties qui devront y trouver leur compte.


Si le groupe est désormais doté d’une véritable DRH, elle devra démontrer un renouvellement du dialogue social dans le cadre des discussions qui démarrent sur ce sujet particulièrement sensible.


Le Délégué Syndical Central du GSEA


Serge MAFFI

 

Le Président du GSEA

 

Michel DELIGNAT

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 16:32

La direction de PSA Peugeot Citroën avait promis il y a un mois de nouvelles mesures d'économies afin de parvenir à équilibrer son cash-flow fin 2014. Les premières ont été dévoilées hier. Le constructeur d'automobiles a annoncé la fermeture, puis la cession, d'ici la fin du premier semestre 2014 de ses bureaux de Meudon-la-Forêt, dans les Hauts-de-Seine, qui regroupent depuis 1980 des services dédiés à la qualité, à l'ingénierie ou à l'après-vente.


Le groupe a assuré que cette fermeture se fera sans suppression d'emplois. Les 660 salariés concernés doivent être transférés vers d'autres sites du groupe, notamment Poissy et Vélizy dans le département voisin des Yvelines. PSA compte récupérer 200 millions d'euros de la vente d'actifs immobiliers, en plus des 1,2 milliard d'euros de l'an dernier.
Toutefois, les salariés qui le souhaitent pourront choisir le plan de départs volontaires engagé par PSA et qui vise à supprimer 3.600 postes en France, en plus de la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois et de la réduction des capacités du site d'assemblage de Rennes. Au total, le constructeur prévoit de supprimer 8.000 postes en France d'ici à l'an prochain, sur les 67.000 qu'il comptait à fin mai 2012. Avec les départs naturels, les effectifs français pourraient tomber à environ 55.000 salariés.


En parallèle de ce transfert de site, PSA débutera mercredi prochain les négociations avec les syndicats sur un accord de compétitivité de ses sites français. Philippe Varin, le président du directoire du constructeur automobile, espère aboutir cet automne. La direction a assuré que cet accord n'entraînera aucune nouvelle suppression de postes.


Jusqu'à présent, aucun chiffre n'a circulé sur le montant des économies espérées par le groupe. A titre de comparaison, avec l'accord de flexibilité conclu en début d'année, Renault espère réduire de 400 et 500 millions d'euros par an la base de coût de ses usines françaises d'ici à 2016. PSA a besoin de ces nouvelles économies en France. Les marchés automobiles français et européen risquent de baisser jusqu'en 2014.


Quant aux filiales d'Amérique latine, de Russie ou de Chine, elles ne contribuent que très marginalement aux bénéfices. Selon les projections des analystes, avant ces nouvelles économies, le constructeur devrait encore brûler entre 600 millions et 1 milliard d'euros de cash flow en 2014

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 06:48

Une négociation sur la compétitivité en France débutera le 29 mai entre la direction de PSA Peugeot Citroën et les organisations syndicales du groupe, a annoncé mercredi 22 mai le constructeur automobile.

 

PSA "va ouvrir un cycle de négociations pour construire un nouveau contrat social participant au redressement du groupe", indique la direction dans un communiqué.

 

"A travers l'initiative d'un nouveau contrat social, l'objectif est d'engager les salariés, individuellement et collectivement, dans la vision stratégique et les projets d'avenir de l'entreprise et de renouveler et de renforcer le dialogue social pour anticiper, partager et accompagner les projets et le redressement du groupe", précise PSA dans son communiqué.

 

La première réunion, qui se tiendra le 29 mai, sera "consacrée aux thèmes, aux enjeux et aux objectifs, ainsi qu'au calendrier de la négociation", selon le communiqué.

 

"J'aimerais bien que ce soit bouclé à l'automne", avait déclaré en avril le président du directoire, Philippe Varin.

 

L'exemple de Renault et SEVELNORD

 

PSA emboîtera ainsi le pas à son concurrent Renault, qui a signé en mars dernier un accord de ce type avec trois syndicats. "Bien sûr qu'on regardera ce qu'a fait Renault", avait dit Philippe Varin, rappelant que PSA a déjà signé un accord de cette nature dans son usine de Sevelnord (Nord).(Accord qui a permis l'arrivée d'un nouveau projet d'utilitaire, et qui sera réalisé en coopération avec le 1 er constructeur mondial Toyota)

 

PSA Peugeot Citroën est déjà engagé dans un vaste plan de restructuration qui, entre mai 2012 et mai 2014, verra la suppression de plus de 11.200 emplois dans le groupe, notamment avec la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) en 2014.

 

"On ne voit pas de remontée brutale (des ventes en Europe) à l'horizon 2014-2015", avait estimé Philippe Varin début mai. La baisse du marché automobile européen devrait atteindre 5% cette année et "on va être à -8% en France", avait souligné le numéro un de PSA.

 

Projet de vente du site de Meudon

 

Le constructeur automobile examinait également ce mercredi un projet de vente de son site de conception et d'ingénierie de Meudon-la-Forêt (Hautes-de-Seine), dont les 660 salariés seront transférés sur d'autres sites, essentiellement en région parisienne.

 

Ce projet, examiné à l'occasion d'un comité central d'entreprise (CCE), concerne majoritairement des cadres, et n'implique aucune suppression d'emploi, ont assuré un porte-parole de la direction et les syndicats.

 

Il s'agit, selon un porte-parole de la direction, d'une "relocalisation sur d'autres sites, essentiellement en région parisienne, pour rationaliser les implantations géographiques du groupe dans la région".

 

D'autres activités devraient être redéployées à Poissy (Yvelines). Vingt et une personnes pourraient soit être affectées au site de Vesoul (Haute-Saône), soit changer d'activité.

 

Rationalisation du taux d'occupation des sites

 

PSA Peugeot Citroën devrait, en effet, vendre les locaux de Meudon. Un document interne fait état de la nécessaire "rationalisation du taux d'occupation des sites". Le produit de la vente devrait être supérieur au coût de réimplantation des équipes dans les différents établissements d'accueil.

 

Le calendrier envisagé prévoit en mai et juin la finalisation du projet et l'accompagnement individuel des salariés (information, primes de mobilité et d'installation...). L'organisation des transferts se déroulerait d'ici au 2e trimestre 2014.

 

Sur les 660 salariés du site de Meudon, on compte 342 cadres, 263 techniciens agents de maîtrise et 55 ouvriers, précise un document interne.

 

Selon la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, "il y a poursuite d'activité, c'est un simple déménagement, et le comité central d'entreprise a été informé".

 

"Qu'il y ait des inquiétudes qui s'expriment, c'est bien naturel", a-t-elle admis. "Ce que le gouvernement a défendu sans relâche, c'est qu'aucun salarié ne passe par la case Pôle emploi", a rappelé la porte-parole, ajoutant que "de ce côté-là, nous avons obtenu un certain nombre de résultats".

 

Le président du conseil général des Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian (UMP), a dit "regretter" cette décision, "car c'est de l'emploi dans le département". "Mais en même temps, je peux comprendre que PSA, confronté à une concurrence internationale très dure, recherche une meilleure compétitivité", a-t-il dit sur LCI.

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 08:38

PHILIPPE VARIN s’explique :

Dans un entretien accordé à PARIS MATCH (16/5/13), le président de PSA Peugeot Citroën Philippe Varin explique que les marques du groupe sont désormais bien positionnées et qu’elles ne se cannibalisent pas. Il indique que les ventes hors d’Europe devraient atteindre 50 % en 2015, contre 38 % en 2012, soulignant que « l’internationalisation est le meilleur moyen de résister au marasme européen ». « En 2013, nous allons sortir 17 nouveaux modèles, dont 9 en Europe », ajoute-t-il.

M. Varin explique que l’obtention du label origine France pour six des véhicules de PSA (cf. revue de presse du 15/5/13) est « la reconnaissance que ce groupe est français, avec un ancrage industriel en France depuis deux cents ans ». « Nous sommes fiers de ce label. PSA Peugeot Citroën fait partie du patrimoine national », se félicite-t-il.

M. Varin évoque par ailleurs l’accord signé par PSA avec General Motors, rappelant que les deux groupes ont mis en place une organisation commune des achats et qu’ils ont trois accords de développement de véhicules. « D’ici à 2017, les synergies atteindront 1 milliard de dollars pour chacun des deux groupes », se réjouit-t-il.

APRES PSA ,TOYOTA

Après avoir salué l'obtention d'un label "Made in France" pour 6 véhicules de la gamme de PSA Peugeot Citroën, le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, se félicite aussi de l'obtention de ce même label par la citadine Toyota Yaris produite à Valenciennes. Une petite partie de ces Yaris assemblées à Valenciennes seront d'ailleurs exportées vers les USA, le Canada et Porto Rico.

 

Arnaud Montebourg souligne le rôle de la base industrielle automobile française, qui a permis au groupe Toyota de produire et de se fournir chez les équipementiers et les sous-traitants français à plus de 54% sur l'ensemble de la gamme Yaris.

 

Le ministre du redressement productif encourage Toyota à poursuivre sa démarche de valorisation du "Made in France". Il rappelle que la Yaris, dans sa version à moteur hybride, fait partie du catalogue de la centrale d'achat public de véhicules électriques et hybrides dont le gouvernement a fixé un engagement minimal de commande publique.

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 15:29

Le Ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, salue, à travers l'obtention de ce label, l'enracinement du groupe PSA en France. Il observe que cette labellisation témoigne de l'excellence de l'ensemble de la base industrielle automobile française, qui a permis au groupe PSA de produire et de se fournir chez les équipementiers et les sous-traitants français en moyenne à 68% pour les Peugeot 508, 3008 et 5008 et les Citroën DS3, DS4 et DS5 qui sont produites à Rennes, Poissy, Mulhouse et Sochaux.

 

Cette labellisation est délivrée aux produits dont l'assemblage final est réalisé en France et dont plus de 50% de la valeur sont produits en France, et garantit ainsi aux consommateurs l'origine française des produits qu'ils achètent.

 

Le Ministre du Redressement productif encourage le groupe PSA à poursuivre cette démarche de labellisation pour ses prochains véhicules produits en France et à valoriser dans ses véhicules le Made in France.

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 07:27

La production de PSA Peugeot Citroën et de Renault en France a chuté de 32% au premier trimestre pour tomber à environ 350.000 véhicules, selon des données publiées mardi par le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA).


La production hexagonale du premier constructeur automobile français, PSA, a reculé de 35,7% sur un an à 230.337 unités, indique le CCFA. Le recul est limité à -23,7% pour Renault, dont la production a atteint 118.060 véhicules.


La production mondiale de PSA a reculé de 18,8% à 712.936 unités et celle de Renault de 7,9% à 658.587 voitures et utilitaires légers. Si la marque Renault souffre (-10,8%), la production des modèles Dacia, qui sont fabriqués hors de France, a augmenté de 23,7%.


La production hexagonale des deux groupes avait déjà baissé de 16,4% en 2012, année où ils avaient produit 1,65 million de véhicules à eux deux dans le pays.


Ils ont entamé tous deux une vaste restructuration de leurs activités en France pour faire face à la baisse continue de la demande sur ce marché et sur le marché européen.


Au total, plus de 11.200 postes seront supprimés entre mi-2012 et mi-2014 chez PSA, qui employait encore un peu plus de 91.000 salariés en France à la fin 2012. Ceci va se traduire entre autres par des plans sociaux et la fermeture de l'usine d'Aulnay, en région parisienne, prévue pour l'an prochain.


Renault, qui a réduit sa présence en France au fil du temps, comptait 54.000 employés à la fin 2012.

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 09:43

 

Le service SIS de Sevelnord à l’honneur :

Ce n’est pas la règle dans toutes les entreprises, mais le groupe PSA a son propre service de sécurité. Comme à Sevelnord où quinze pompiers volontaires ont paraphé, jeudi, une convention avec le SDIS (Service départemental d’incendie et de secours du Nord).

« Cette convention, explique Patrick Labilloy, directeur général de l’usine automobile d’Hordain, permet à nos sapeurs-pompiers volontaires de bénéficier de formation sur le temps de travail sans être contraints de recourir aux congés. Sevelnord autorise ces salariés présents sur le site à utiliser 20 heures de droit individuel de formation (DIF), ainsi qu’à s’absenter pour des actions de formation, définies par la loi, dans la limite de 20 heures par an. Sevelnord, avec 2 400 salariés est en somme une ville dans la ville et il est important de veiller à la sécurité de nos salariés ».

Vingt pompiers présents dans l’usine d’Hordain

« Notre service sécurité compte vingt agents : quinze dont l’activité est d’être pompiers pour l’usine, cinq qui sont sapeurs dans une caserne extérieure et qui font un autre métier chez nous, explique Pierre Long, directeur des ressources humaines de Sevelnord. David Ambroise est notre ingénieur sécurité et il est épaulé par quatre agents de maîtrise. Nos pompiers font essentiellement de la prévention (à 60 % de leur temps) mais sont toujours prêts en cas de problème ». Comme l’avait dit précédemment Patrick Labilloy, des formations de SST (sauveteurs secouristes du travail) sont également menées pour avoir des salariés formés aux premiers secours.

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Le directeur de SEVELNORD, monsieur Patrick LABILLOY quittera le site début juin. Il sera remplacé par monsieur Philippe COENE.

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