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26 février 2018 1 26 /02 /février /2018 15:59
  • Jusqu'à présent la 508 était fabriquée à Rennes. Le nouveau modèle a été confié à l'usine de Mulhouse.
    Jusqu'à présent la 508 était fabriquée à Rennes. Le nouveau modèle a été confié à l'usine de Mulhouse. | Photo d'archives Thomas BREGARDIS/Ouest-France

La nouvelle Peugeot 508 ne sera pas fabriquée à Rennes mais à Mulhouse (Haut-Rhin). Sa commercialisation débutera au mois de septembre.

La 508 était jusqu’à présent produite près de Rennes, dans l’usine PSA La Janais. Ce sera bientôt terminé. La fabrication de la berline est désormais transférée à Mulhouse, où le nouveau modèle va sortir de chaîne. L’usine rennaise, pour sa part, continuera d’assembler le cross-over 5008 et sortira bientôt le futur Citroën C5 Aircross.

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26 février 2018 1 26 /02 /février /2018 08:01

 

Peugeot

Au salon automobile de Genève (Suisse), à partir du 6 mars, Peugeot exposera une statue géante du lion, son emblème depuis 160 ans. - Peugeot

 

Au salon automobile de Genève (Suisse), Peugeot ne présente pas que des voitures. La marque dévoilera également une statue du Lion, son emblème depuis 160 ans.

Il ne passera à coup sûr pas inaperçu dans les allées du salon automobile de Genève, qui ouvrira ses portes le 6 mars prochain. Et pas simplement parce que le rendez-vous suisse met l’accent sur le design. Peugeot présente en effet une statue monumentale de Lion, presque aussi longue que trois berlines 508 mises bout à bout (12,5 mètres au total) et haute comme un peu plus de trois 208 empilées (4,8 mètres au total). Cette statue de Lion a été dessinée par le Peugeot Design Lab, le département design de Peugeot dédié à d’autres réalisations que les véhicules du groupe.

Le lion, symbole de souplesse et de résistance

Fluide, mais solide, imposant mais pas agressif, ce Lion joue avec l’identité de Peugeot depuis 160 ans. C’est en effet en 1858 que le logo d’un lion a pour la première fois été déposé par la marque française. Qui, à l'époque, ne produit  pas encore de voitures.

Peugeot

Peugeot - Gilles Vidal, le designer en chef de Peugeot, à côté de la statue du Lion.

Au milieu du XIXe siècle, les frères Jules et Emile Peugeot conçoivent des outils, dont des lames de scie. Ils demandent alors à un orfèvre, Blazer, de leur créer un logo, à la fin des années 1840. C’est très vite un lion qui s’impose. Sur ses quatre pattes, il marche de profil sur une flèche. Le roi des animaux symbolise trois qualités essentielles: "souplesse de la lame, résistance des dents, et rapidité de coupe", précise Peugeot. "La flèche assoit la notion de rapidité", poursuit la marque. Déposé en 1858, il faudra cependant attendre 1905 pour voir le logo sur les premières voitures de la marque.

Peugeot

Peugeot - Le tout premier logo créé pour Peugeot, par un orfèvre.

Pendant la première moitié du XXe siècle, le Lion généralise sa présence sur les véhicules Peugeot, d’un bouchon de radiateur dans la mouvance des animaux dessinés par Bugatti, en 1923, à un Lion plus stylisé, plus Art Déco, au début des années 30. Le Lion façon blason, pattes aériennes et esprit blason, n’apparaît qu’il y a 70 ans, en 1948. Il reprend alors le lion de la région Franche-Comté, région où se situe Sochaux, le berceau de Peugeot. Ce n’est d’ailleurs pas un lion, mais une lionne qui orne le capot de la 203. L’adoption du blason apposé sur la calandre plutôt que d’un logo en relief sur le capot tient aussi à des raisons de sécurité, précise Peugeot, qui retire cette figure de proue des capots en 1958.

Peugeot - Les logos depuis 1858

Peugeot

Les années 60 voient l’abandon du lion entier, pour ne focaliser que sur la tête de l’animal. Avec la 404, le lion est chapeauté par le nom de la marque, "PEUGEOT". EN 1968, il se modernise encore et se pare de chrome, de dorure, pour l’un des modèles les plus emblématiques de la marque: la 504.

1976, la rupture

Le logo stylisé dont s’inspire toujours actuellement Peugeot date de 1976, pour marquer le rachat de Citroën et la création de la holding PSA Peugeot Citroën. Peugeot est alors en pleine expansion, car il vient de racheter Chrysler. Le lion retrouve à cette époque son allure façon blason, mais avec des traits beaucoup plus épurés. il est baptisé "lion héraldique", ou "lion fil", comme pour marquer le retour aux valeurs initiales de Peugeot, comme le souligne le site Les Peugeot mythiques.

Peugeot Peugeot - Ce logo date de 1976, alors que Peugeot vient d'absorber Citroën et s'apprête à racheter Chrysler.

La dernière évolution date de 2010, avec un mélange de mat et de brillant, une allure plus dynamique. Depuis la fin des années 90, le lion est en effet plus étoffé. En 2010, il est plus dynamique. Les traits de la statue sont repris de ce dernier logo. A découvrir sur le stand de Peugeot à Genève, à côté de la nouvelle 508.

Peugeot

Joël Saget - AFP - Le logo le plus récent de Peugeot date de 2010.

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26 février 2018 1 26 /02 /février /2018 05:47

La construction de la nouvelle 5008 a déjà démarré à l'usine PSA de La Janais.

La construction de la nouvelle 5008 a déjà démarré à l'usine PSA de La Janais. — PSA

Il n’y a pas si longtemps encore, en 2012-2014, le groupe PSA passait au bord de lacatastrophe et perdait des centaines de millions d’euros chaque mois. Aujourd’hui, les voyants sont au vert et le groupe dégage des bénéfices importants, lui permettant de se tourner vers l’avenir et investir. Ce vendredi le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire et le PDG du groupe PSA Carlos Tavares (Peugeot, Citroën, DS, Opel-Vauxhall) se rendront à l’usine de Mulhouse (Haut-Rhin) pour visiter l’atelier de montage de la toute nouvelle DS7 Crossback, un véhicule premium monté à l’usine PSA de Mulhouse.

Mais comment le groupe a-t-il réussi à remonter si vite la pente et produire, en France, plus d’un million de véhicules en 2017 et investir 1,8 milliard d’euros dans ses usines françaises entre 2014 et 2017 ? Si ce redressement coïncide avec l’arrivée du Carlos Tavares, plusieurs éléments expliquent aussi cette remontée spectaculaire.

Une reprise des ventes en Europe. « Les ventes ont progressé significativement depuis 2014, même un peu avant, particulièrement en Europe et PSA est un groupe qui est encore très dépendant du marché européen, explique Flavien Neuvy, directeur del’observatoire Cetelem de l’automobile. Il était jusqu’alors difficile pour PSA de voir ses résultats financiers s’améliorer, très implanté en Europe du sud où le marché avait beaucoup souffert [Espagne, Italie]. Mais, globalement la croissance est forte partout en Europe et donc cela a permis à PSA d’augmenter ses capacités de production dans les usines. »

A cela s’ajoute le rachat d’Opel en mars 2017, un choix stratégique qui lui permet de devenir le deuxième constructeur européen, et qui permet au groupe d’être présent avec des volumes plus importants, indispensables aujourd’hui dans l’industrie automobile qui besoin de produire beaucoup de voiture pour amortir les investissements.

Accords de compétitivités mais… Des discussions avec les syndicats pour augmenter la productivité des usines et des accords de compétitivité ont été signés dès 2014, pour trois ans. Accords qui ont été reconduits l’année dernière. « L’idée est que les usines françaises du groupe soient plus compétitives et cela a eu effet important sur la rentabilité de PSA, cela a été primordial pour retrouver le chemin de la croissance », assure Flavien Neuvy.

Les lignes de montage sont davantage robotisées, la logistique pour éviter aux ouvriers trop de déplacements pour prendre les pièces à monter sont nettement plus efficientes et communes aux différents modèles, d’où des économies d’échelles. Mais avec une montée en cadence sur les lignes de montage.

Des voitures qui séduisent. Avec la DS7 Crossback dont le ministre visitera la ligne de montage vendredi, le groupe vise l’excellence, le prémium. « PSA propose des modèles qui marchent très bien, le 3008 crossover, la 308… Avec DS, le groupe a une gamme quirépond à l’attente des automobilistes, explique Flavien Neuvy. Globalement les ventes de PSA sont portées par des modèles qui ont rencontré un vif succès commercial. Mais le prémium c’est un objectif très difficile à atteindre, car les Germaniques sont présents depuis très longtemps sur ce créneau, c’est une clientèle extrêmement exigeante. »

Oui, mais voilà. Ce sont des ventes plus rentables avec des prix de ventes plus élevés donc pour PSA, qui a une forte implantation en France, « c’est aussi une façon de pouvoir continuer à fabriquer des voitures en France car ce sont des voitures plus chères aussi et qui peuvent supporter des coûts de production un peu plus élevés. Ce n’est pas une condition sine qua non, mais c’est très important pour PSA d’être sur ces segments-là. Même si ce n’est pas ça qui le fait le gros des volumes. C’est plutôt les SUV, aujourd’hui qui représentent 30 % des ventes en France », précise Flavien Neuvy. Une stratégie d’autant plus payante que le groupe a annoncé l’abandon des moteurs diesel en 2025 (qui est pourtant l’un de ses points forts) et son intention de proposer d’ici à 2025 une version électrique pour l’ensemble de ses véhicules… pour être dans l’air du temps

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22 février 2018 4 22 /02 /février /2018 17:03

Avant sa présentation officielle à Genève dans deux semaines, « L’Alsace » a pu découvrir en avant-première la nouvelle Peugeot 508 dévoilée aujourd’hui. Cette grande berline aux allures de coupé confirme la montée en gamme de Peugeot et le positionnement premium du site PSA de Mulhouse dans l’organisation industrielle du constructeur automobile.

 
Avec un style de berline-coupé, la nouvelle Peugeot 508 affiche un dynamisme qui devrait permettre à la marque au lion de concurrencer les allemandes sur le créneau des grandes berlines du segment D. Photo L’Alsace
L’arrière de la 508 arbore un bandeau horizontal noir brillant, encadré par des feux full led tridimensionnels inspirés des derniers concept-cars Peugeot.  Photo L’Alsace
Bernard Hesse, chef de projet marque, devant la planche de bord de la nouvelle Peugeot 508, fortement inspirée du concept-car Exalt. Photo L’Alsace
Après le DS7 Crossback, la nouvelle Peugeot 508 est le deuxième véhicule fabriqué à partir de la base modulaire EMP2 qui a permis de gagner 70 kg sur sa devancière. Photo L’Alsace
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon
Photo L'Alsace/Thierry Gachon


Avec un style de berline-coupé, la nouvelle Peugeot 508 affiche un dynamisme qui devrait permettre à la marque au lion de concurrencer les allemandes sur le créneau des grandes berlines du segment D. Photo L’Alsace L’arrière de la 508 arbore un bandeau horizontal noir brillant, encadré par des feux full led tridimensionnels inspirés des derniers concept-cars Peugeot.  Photo L’Alsace Bernard Hesse, chef de projet marque, devant la planche de bord de la nouvelle Peugeot 508, fortement inspirée du concept-car Exalt. Photo L’Alsace Après le DS7 Crossback, la nouvelle Peugeot 508 est le deuxième véhicule fabriqué à partir de la base modulaire EMP2 qui a permis de gagner 70 kg sur sa devancière. Photo L’Alsace Photo L'Alsace/Thierry Gachon Photo L'Alsace/Thierry Gachon Photo L'Alsace/Thierry Gachon

Attendu demain à Mulhouse pour saluer le lancement du DS7 Crossback, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, aura droit à un – discret – détour, au cours de sa visite de l’usine avec Carlos Tavares, pour découvrir la nouvelle Peugeot 508. Cette berline, révélée aujourd’hui, sera l’une des stars du salon de Genève dans deux semaines.

De l’actuelle 508 jusqu’alors fabriquée à Rennes, il ne reste rien, excepté le nom et le lion sur la calandre. Avec le DS7 Crossback et cette nouvelle 508, le site PSA de Mulhouse s’installe durablement dans le giron des usines premium. Le défi est de taille quand on sait que ces véhicules ne peuvent souffrir du moindre défaut de qualité.

La nouvelle Peugeot 508 opère un virage radical en termes de style. Fini l’allure pataude et pépère de la première version. La marque au lion a décidé d’aller chasser sur les terres des berlines premium allemandes. Cette 508 se pose en concurrente de l’Audi A5 Sportback ou de la Volkswagen Arteon.

Retour dans la cour des grandes berlines

« Mercedes, BMW, Audi… Ce sont les Allemands qui font le marché et imposent les tendances , indique Bernard Hesse, chef de projet marque. Nous avons travaillé avec le style pour proposer le design d’une voiture plus dynamique, qui s’inscrit dans les canons des berlines de segment D [familiale, NDLR] tiré par les marques premium. Pour autant, nous avons innové. La partie trois-quarts arrière affiche un style très latin, avec des hanches très structurées et galbées » , ajoute Bernard Hesse.

Un autre objectif de la nouvelle 508 est d’abaisser la moyenne d’âge de la clientèle de la Peugeot 508, actuellement de 60 ans quand la moyenne pour ces véhicules dits du segment D est cinq à sept ans inférieurs. Enfin, la cible initiale est clairement le canal B to B ( business to business ), sociétés et professions libérales, grâce à qui se fait l’essentiel des ventes. « Nous voulons à la fois rajeunir la clientèle et toucher les managers, les cadres dirigeants pour s’inscrire dans une nouvelle dynamique » , résume Bernard Hesse.

Le résultat de cette équation à données multiples est tout simplement bluffant avec une voiture qui replace Peugeot dans la cour des grands. Cette nouvelle 508 est plus compacte que sa devancière (-8 cm, à 4,75 m) et plus basse (-6 cm, à 1,40 m). Pourtant, elle paraît plus fine et plus grande grâce à cette ligne de toit qui descend de manière continue jusqu’au hayon, lequel remplace le traditionnel coffre. Dans l’automobile, cette figure de style caractérisé par cette ligne de trait continu a un nom. On parle de voiture « fastback ».

Effet « waouh » garanti

Pour la première fois depuis la Citroën C6, le groupe PSA renoue avec une voiture sans cadre de porte au niveau des vitres. Cela accentue encore cet aspect de véhicule coupé qui devrait assurer le succès de la 508. « On a vraiment cherché à mixer berline et coupé » , souligne Bernard Hesse, selon qui « pour être crédible, il fallait un changement radical. On propose quelque chose qui a un effet “waouh” en raison d’une très forte dynamique. On passe d’une voiture familiale à un véhicule polyvalent. » Pour une efficacité aérodynamique, la voiture est légèrement plus étroite à l’arrière qu’à l’avant. « La partie arrière s’est révélée comme étant la plus complexe à réaliser, puisque le dynamisme de la voiture est donné par cette chute de pavillon » , explique Pierre-Paul Mattei. Et le responsable du design de la nouvelle 508 d’ajouter que, pour préserver l’habitabilité selon la norme du segment, « il a fallu revoir notre manière de concevoir la structure de la voiture. Cela nous a conduits par exemple à réaliser une véritable prouesse d’emboutissage, que l’on perçoit notamment sur l’ampleur des ailes arrières. On n’avait jamais fait ça chez PSA ! En général, c’est réservé à des voitures de sport… Il a fallu qu’on revoie tous nos référentiels en termes d’emboutissage pour pouvoir obtenir ce résultat. »

24 mètres de colle

À l’intérieur, les équipes de style se sont largement inspirées du concept-car Exalt pour le tableau de bord, au centre duquel on retrouve le i-cokpit et ses touches de piano qui se différencient très bien de celles de la 3008 ou la 5008. Sans oublier le petit volant qui fait partie de l’ADN de Peugeot.

Parmi les innovations industrielles, cette 508 bénéficie d’un système de soudo-collage consistant à injecter 24 mètres de colle entre les points de soudure. Cette technique, éprouvée sur le DS7 Croosback, permet d’accroître la rigidité de la caisse et ainsi d’améliorer l’isolation acoustique. Par rapport à la version précédente, cette 508 a été allégée de 70 kg grâce, notamment, à la plateforme modulaire EMP2 qui sert de base aux véhicules moyen et haut de gamme du groupe PSA. « C’était un gros challenge car en parallèle, certains équipements, comme la motorisation du hayon ou les portes sans cadre, sont plus lourds ! Cela a imposé des solutions radicales comme l’emboutissage à chaud, le capot et les ailes avant en aluminium, ou le hayon en thermoplastique », précise le directeur du projet, Pascal Delabarre.

Le produit est séduisant et attractif. À charge désormais aux équipes de PSA Mulhouse de réussir son lancement à travers une qualité irréprochable. La montée en cadence de la production est prévue dans le courant du mois de mai.

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22 février 2018 4 22 /02 /février /2018 16:59

La ministre de l’Économie, Dominique Anglade, assure que c’est «pour le bien des contribuables» que le projet de fabrication de composants de véhicules électriques avec Peugeot Citroën a été abandonné, et ce, même si le Québec y avait déjà englouti 14 M$.

La raison est fort simple: il aurait fallu qu’il y ait beaucoup de deniers publics pour soutenir ce projet [...]. C’est la raison pour laquelle, pour le bien des contribuables [...] nous avons décidé de ne pas poursuivre le projet», a indiqué en chambre la ministre de l’Économie.

«Pas de projet d’usine» selon Couillard

Le premier ministre Philippe Couillard, qui avait fièrement annoncé ce partenariat avec PSA Peugeot Citroën, en marge du Forum économique mondial de Davos, en 2016, minimise aujourd’hui l’ampleur du projet et son état d’avancement.

«Tout d’abord, il n’y avait pas de projet d’usine. La seule chose qu’on faisait, c’était une étude de faisabilité sur la technologie, voir si elle avait un potentiel de commercialisation», a relaté M. Couillard, lors d’une mêlée de presse à l’Assemblée nationale.

 

Selon le premier ministre, le conseil d’administration d’Arion Technologies, soit la société qui regroupait les partenaires impliqués, aurait mis fin à cette étude de faisabilité «avant même qu’elle ne soit terminée, parce que commercialement, ça ne tenait pas la route».

Or, selon une source bien au fait du dossier, c’est bien «une décision politique» qui aurait obligé le CA «à mettre fin abruptement au projet», ce que nie le gouvernement.

«Tout le conseil d’administration était derrière cette décision-là», a dit M. Couillard.

«La décision a été prise en conseil d’administration où siégeaient à la fois Investissement Québec et à la fois Peugeot. Il n’y a eu aucune surprise», a martelé en chambre la ministre Anglade.

Une «occasion ratée»

Selon les informations colligées par Le Journal, le projet était plutôt si avancé que certains parlaient d’un «nouveau Bombardier». Le projet d’usine, qui se chiffrait autour de 600 M$, aurait pu générer 700 emplois, moyennant l’investissement d’une somme de 100 M$ de la part du gouvernement du Québec et autant d’Ottawa.

Selon le chef péquiste Jean-François Lisée, il s’agissait d’une «occasion en or» pour le Québec qui s’est finalement transformée en «occasion ratée», parce que le gouvernement du Québec a décidé de se retirer.

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22 février 2018 4 22 /02 /février /2018 16:51
Le nouveau trio de ludospaces de PSA est au complet. Après les Citroën Berlingo et Opel Combo, voici, non pas le Partner, mais le Peugeot Rifter. Un nouveau nom pour symboliser un positionnement plus chic et plus aventurier.
Salon de Genève 2018 - Peugeot dévoile le Rifter, remplaçant du Partner
 

Peugeot souhaite devenir le "meilleur constructeur généraliste haut de gamme". Le 3008 illustre parfaitement la volonté de la marque de flirter avec le premium, la nouvelle 508 en fera de même. Au sein d'une gamme plus chic, un ludospace a-t-il sa place, dans la mesure où c'est un véhicule jumelé à un utilitaire ?

Visiblement, Peugeot s'est posé la question. Et sa réponse est à la fois oui et non. La marque reste sur le segment des ludospaces, il serait dommage de se priver de ventes potentielles, encore plus quand la rentabilité est améliorée en partageant les coûts avec Citroën et Opel. Mais le constructeur tente l'enfumage marketing. Pour prendre ses distances avec l'utilitaire et l'ancien modèle, exit le nom Partner pour le véhicule particulier, place à Rifter. La marque ose carrément dire que l'auto "bouscule l'offre du segment".

Le Rifter est ici présenté en version GT Line, avec jantes 17 pouces et éléments peints en noir.
Le Rifter est ici présenté en version GT Line, avec jantes 17 pouces et éléments peints en noir.

Cela ne saute pas aux yeux, car le Rifter conserve une silhouette typique de ludospace. Il ajoute toutefois une dose de SUV à sa recette, avec de généreuses protections de carrosserie autour des roues et sur les bas de caisse latéraux, que l'on n'a pas sur les cousins. La face avant adopte les codes Peugeot, avec une calandre verticale. Les optiques sont alignées sur cette dernière. Elles intègrent en leur centre une barre de diodes. À l'arrière, le Rifter se démarque de ses cousins par ses feux avec signature lumineuse à 3 griffes.

Un véhicule, 3 visages

Les designers ont été astucieux. Les trois autos ont une face avant typique de leur marque, alors que les ailes et le capot sont partagés. La personnalisation se fait avec la calandre, les phares et le bouclier. Pour le reste, les différences sont minimes : le Citroën a des montants de pare-brise noirs et des Airbumps latéraux, le Peugeot joue les baroudeurs avec de généreuses protections tandis que l'Opel est classique avec une carrosserie intégralement peinte. Chaque véhicule à des jantes spécifiques.

Citroën Berlingo
Citroën Berlingo
Opel Combo
Opel Combo
Peugeot Rifter
Peugeot Rifter

 

 

 

 

 

 

 

 

Preuve que la conception du nouveau trio a été maligne : à bord, le Rifter s'inscrit bien dans la continuité des nouvelles Peugeot. On retrouve ainsi les éléments essentiels du i-Cockpit car le Rifter se distingue par une instrumentation relevée, qui se lit par-dessus le petit volant à méplats. Le reste est identique aux Berlingo et Combo.

Et même toute la suite. Ainsi, le Rifter voit double avec une version normale de 4,40 mètres et une version allongée, de 4,75 mètres. La première annonce un volume de coffre sous tablette très généreux : 775 litres. Les deux carrosseries existeront en 5 ou 7 places. On trouve en rang 2 trois sièges individuels, qui se rabattent simplement dans le plancher. En rang 3, les sièges en plus sont extractibles. Pour le chargement d'objets longs, le dossier du siège passager peut se replier.

Pour être en règle avec le cahier des charges Peugeot, le Rifter reçoit une instrumentation relevée. Mais elle n'est pas numérique.
Pour être en règle avec le cahier des charges Peugeot, le Rifter reçoit une instrumentation relevée. Mais elle n'est pas numérique.

Le Rifter multiplie les rangements, avec par exemple une double boîte à gants grâce à l'implantation de l'airbag passager dans le pavillon. Le toit Zénith est désormais constitué d'un seul panneau de verre, traversé par une élégante arche translucide, dotée d'un éclairage d'ambiance à LED. Elle intègre des rangements et est associée à un compartiment fermé au-dessus du coffre.

Comme ses cousins, le Rifter fait le plein d'aides à la conduite et de technologies : régulateur de vitesse adaptatif, reconnaissance des panneaux de signalisation, assistance au maintien dans la voie, détecteur de fatigue, freinage d'urgence et feux de route automatiques, surveillance des angles morts ou encore caméra de recul 180°.

Une version longue de 4,75 mètres est disponible.
Une version longue de 4,75 mètres est disponible.

Côté motorisations, le Rifter donnera dans un premier temps la priorité au diesel, avec trois variantes du 1.5 BlueHDi, de 75, 100 et 130 ch. Ce dernier pourra être associé à la boîte automatique EAT 8 rapports. Pour l'essence, il y aura au début le 1.2 PureTech de 110 ch. La déclinaison 130 ch avec boîte EAT8 arrivera courant 2019.

Aventurier, le Rifter pourra être équipé de l'antipatinage évolué Grip Control avec des pneus "Mud&Snow". Le système sera associé à l'aide à la descente, qui maintient la vitesse dans les pentes. Surtout, il sera possible d'avoir une transmission intégrale grâce au partenaire historique Dangel.

Le Rifter fera ses débuts en public au Salon de Genève. Il arrivera dans les concessions à la rentrée.

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21 février 2018 3 21 /02 /février /2018 06:46
Un ouvrier diéséliste Peugeot Citroën  inspecte un moteur diesel HDI  fabriqué à l'usine de Trémery en Moselle./ Photo AFP   Un ouvrier diéséliste Peugeot Citroën inspecte un moteur diesel HDI fabriqué à l'usine de Trémery en Moselle

Peugeot-Citroën, l'un des diesélistes les plus connus au monde, s'apprête à tourner la page du gasoil. C'est en tout cas ce que laisse à penser les récentes déclarations de Patrice Marez, le responsable «diesel» chez PSA : «Refaire un nouveau moteur diesel ne fait pas du tout partie de nos priorités» a-t-il assuré. Le tout nouveau moteur 1.5 Blue HDI qu'a mis au point le groupe de Sochaux l'an dernier et qui est fabriqué depuis septembre dans le Pas-de-Calais pourrait donc être le dernier bloc diesel de l'histoire de Peugeot.

Il est pourtant promis à un bel avenir avec l'objectif d'en produire un million d'unités par an notamment pour la Peugeot 308. Il n'empêche. Le lion semble bien être décidé à tourner le dos à la technologie qui a fait sa réputation dans le monde entier. Aujourd'hui, moins de la moitié de ses ventes sont réalisées avec des voitures roulant au diesel : 47 % exactement. Le juste reflet de la tendance tricolore où en 2017, il s'est vendu davantage d'automobiles essence que diesel. 47,8 % des immatriculations de véhicules neufs en France concernaient le gasoil contre 51,6 % un an plus tôt. Les scandales du Dieselgate et les nouvelles révélations de tests sur des singes par le groupe Volkswagen n'ont fait qu'accroître la défiance des consommateurs pour cette énergie.

Des gammes tout électrique en 2025

La décrue est rapide et en bon gestionnaire, PSA n'entend pas rater le virage. Dès l'an dernier, le groupe automobile français avait enclenché sa mue avec son plan stratégique «Push to pass». Il prévoit que la moitié de la production de l'ensemble des marques du groupe (Peugeot, Citroën, DS, et les marques allemandes Opel et Vauxhall) devra être réalisée en version électrique d'ici à 2020. Autant dire demain. La marche sera encore plus haute en 2023 puisque ce taux doit grimper à 80 % et même 100 % en 2025 à en croire les déclarations du patron de PSA, Carlos Tavares lors du dernier salon automobile de Detroit aux États-Unis. Le mouvement de l'industrie automobile est massif puisque la firme française ne fait qu'emboîter le pas à de grands constructeurs comme Volvo ou Toyota. La marque suédoise (qui appartient à un groupe chinois désormais) a annoncé qu'elle ne produirait que des véhicules soit hybrides soit électriques dès 2019.

En juillet dernier, l'État a annoncé sa volonté, par la voix de Nicolas Hulot d'interdire d'ici 2040 la vente des voitures à essence et diesel au profit de la technologie électrique. Mais cette mutation profonde de la filière risque de mettre en danger 12 000 emplois qui dépendent directement ou indirectement du diesel. L'État a promis d'accompagner la reconversion de ses salariés par des actions de formation notamment.

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21 février 2018 3 21 /02 /février /2018 06:30

stars du salon genève 2018

Citroën Berlingo, Lamborghini Urus, Mercedes Classe A, Peugeot 508... : découvrez toutes les nouveautés automobiles qui seront dévoilées lors du salon de Genève, du 8 au 18 mars 2018.

Le salon de Genève 2018 s'annonce comme un excellent cru cette année, avec la présentation d'une cinquantaine de nouveautés. Il y en aura pour tous les goûts : berlines, sportives, supercars, électriques et hybrides. Sans oublier la grande famille des SUV. Tour d'horizon des stars du GIMS 2018.

Les stars françaises de Genève 2018

La grande star chez les constructeurs français se trouvera sur le stand Peugeot. Son nom ? Nouvelle Peugeot 508. Cette seconde génération de la grande berline sochalienne fera sa première mondiale dans sa version berline. Son style devrait fortement s'inspirer du concept Peugeot Exalt. L'autre nouveauté de la marque au Lion sera le Peugeot Rifter, version ludospace (VP) du nouveau Partner.

peugeot 508 berline 2018 photomontage

Peugeot 508

Les nouveaux SUV à Genève 2018

Une fois de plus, les constructeurs arriveront avec de nombreux SUV dans leurs valises. Il y aura de nombreux modèles familiaux, comme le nouveau Honda CR-V, le Jeep Cherokee, le Hyundai Santa Fe ou encore le Volvo XC40 et le Lexus UX. Des modèles au tempérament sportif comme le Cupra Ateca et le nouveau BMW X4. Des SUV « écologiques », à l'image du Hyundai Nexo (hydrogène), du Kona EV et du Jaguar I-Pace (électrique). Sans oublier les vrais 4x4 que sont les Mercedes Classe G et Jeep Wrangler.

A noter enfin que Lamborghini exposera son nouveau SUV, pardon son « Super SUV » : l'Urus.

Mercedes Classe G 63 AMG 2018  
Jeep Wrangle                                                 Mercedes Classe G

 

Les nouveautés allemandes à Genève 2018

Ce sera un vrai festival de nouveautés chez les marques allemandes. En particulier chez Mercedes qui présentera sa nouvelle Classe A et l'AMG GT4, première berline 5 portes développée par AMG. On retrouvera aussi la version restylée de la Classe C et une Classe S Maybach. Sans oublier le nouveau Classe G, cité plus haut.

Chez Audi, c'est la nouvelle A6 qui tiendra le haut de l'affiche, tandis que l'A7 Sportback fera sa première européenne. BMW exposera l'i8 Spyder, version décapotable de sa supercar hybride, tandis que Volkswagen dévoilera l'I.D. VIZZION, un grand concept-car (5,11 m de long) électrique et autonome.

Vue arrière BMW X4 rouge 2018

Mercedes Classe A                               BMW X4

Les sportives du salon de Genève 2018

Les voitures sportives seront aussi au rendez-vous. Citons, pêle-mêle, la nouvelle Ford Mustang, l'Aston Martin Vantage, la Porsche 911 GT3 RS, la Toyota Supra, la Ferrari 488 GTO. Sans oublier la McLaren Senna équipée d'un moteur V8 bi-turbo de 800 ch.

Ferrari 488 GTO

  McLaren Senna                                    Ferrari 488 GTO    

Les autres premières mondiales

Vous en voulez encore ? Voici une sélection d'autres premières mondiales qui seront dévoilées lors du salon de Genève 2018 :

Honda Jazz 2018

Ford KA+ restylée                                  Honda Jazz

Skoda Fabia restylée 2018

Kia Cee'd                                             Skoda Fabia restylée

                       

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20 février 2018 2 20 /02 /février /2018 06:15
     

    Opel et Peugeot-Citroën vont forcément partager beaucoup dans un futur proche. Le nouveau Combo en sait quelque chose, lui qui est désormais étroitement lié aux Citroën Berlingo et Peugeot Partner.

    Dans le sillage du Citroën Berlingo, le nouvel Opel Combo se dévoile. Synergies obligent, l’engin n’est plus construit en partenariat avec Fiat, mais avec le tandem Berlingo/Partner. Assemblé sur les mêmes chaînes de production, il utilise donc aussi la plate-forme modulaire EMP4 inaugurée il y a quelques années par le C4 Picasso. Le nouveau Combo mesure 4,4 m de long et il sera décliné dans une autre variante allongée qui atteindra 4,75 m (+ 35 cm). La version courte offre déjà un vaste espace à bagages qui propose 597 l tandis que le modèle à empattement long propose en configuration minimale 850 l.

    7 places

    Cet espace a évidemment aussi permis de proposer plus de place à bord. La version longue peut ainsi embarquer jusqu’à 7 passagers. Le second rang laisse le choix entre une banquette coulée d’une pièce rabattable 60/40) ou 3 sièges individuels. L’habitacle promet d’être très accueillant grâce non seulement aux multiples espaces de rangement (36 litres au total), mais aussi au grand toit panoramique optionnel qui baigne l’habitacle de lumière.

    La sécurité avant tout

    Le Combo soigne son niveau de sécurité. Il offre notamment un affichage tête haute, une alerte anticollision (avec freinage), la reconnaissance des panneaux de circulation, l’assistance de maintien de voie, le régulateur de vitesse adaptatif, l’adaptation aux limitations de vitesse et l’alerte de fatigue conducteur. Pas mal pour un ludospace ! Le système de bord intègre par ailleurs une connexion internet ainsi que les protocoles Apple Car Play et Android Auto.

    Même moteurs sans doute

    Opel ne communique pas encore sur les moteurs qui seront retenus pour le Combo. Cela dit, il y a fort à parier que ce sera les mêmes que pour le Berlingo. Dès lors, on devrait disposer du 1.2 essence turbo dans 2 versions de puissance (110 et 130 ch) et du nouveau 1.5 Diesel décliné, lui, en 75, 100 ou 130 ch. A confirmer même si on sait déjà qu’une version sera proposée avec une boîte automatique à 8 rapports (sans doute le 1.5 Diesel de 130 ch). Notons toute de même que Opel proposera une option Intelligrip, autrement dit un système de gestion de la motricité sur les terrains plus difficiles pour les familles plus aventureuses.

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    19 février 2018 1 19 /02 /février /2018 07:07

    L’un des challenges de PSA en 2018 sera de reconquérir au moins une partie des volumes perdus sur le marché chinois. La croissance des ventes du groupe en janvier est de bon augure. 

     

    Avec un peu moins de 34 000 ventes en Chine sur le mois de janvier (y compris quelques ventes en Asie du Sud Est), le groupe PSA est encore très loin de ses niveaux antérieurs mais la tendance est positive. En 2017, ses ventes sur la région Chine ont baissé de 37,4% (soit 387 000 unités), elles progressent de 13% sur le mois de janvier.
    Dans le détail, cette croissance n’est pas encore totalement franche puisque pour l’instant seulement la marque Citroën a redressé ses volumes avec 13 900 unités (+67,5%) grâce au lancement de C5 Aircross et la bonne tenue des C3-XR et C4L. 
    La marque Peugeot est encore en repli (-8,1%) avec 19 400 unités. La situation reste problématique pour DS qui dans l’attente du renouvellement de la gamme a pratiquement disparu du marché. Il s’est vendu sur la région 300 DS en janvier. Le lancement de la DS 7 prévu en avril 2018 devrait faire bouger les choses. La marque Opel y a une présence symbolique (avec 200 ventes en janvier) héritage de la répartition des marchés au sein du groupe GM.
    Au total, la région "Chine et Asie du Sud Est" représente 10% des ventes du groupe PSA en janvier, comme sur l’ensemble de l’année 2017. Au plus haut, en 2014 et 2015, la Chine et Asie du Sud Est représentait 25% de ses ventes mondiales et était la deuxième région du constructeur.
    Désormais, après l’Europe, c’est la région Moyen-Orient Afrique qui est la principale zone de développement de PSA depuis la reprise des relations commerciales avec l’Iran (en juin 2016). Les volumes sur cette région sont stables en janvier et représentent 15% des ventes du groupe (50 000 unités). Il s’agit toujours essentiellement de la marque Peugeot (47 100 unités), tandis que Citroën (1 400 unités) et Opel (1 800) ont une présence nettement moins importante.
    Sur les trois autres régions, Amérique Latine, Inde Pacifique et Eurasie, les volumes restent confidentiels (15 000 voitures à elles trois) même s’ils sont en hausse (700 voitures de plus).
    Au final, c’est bien l’Europe qui reste le cœur de l’activité de PSA (70% de ses volumes) et le moteur de sa croissance. Le groupe y a vendu 224 000 unités. L’intégration d’Opel permet au groupe de doubler son poids en Europe puisqu’elles étaient de 112 000 unités en janvier 2017
    Sur cette région, en janvier, c’est Opel qui est la première marque avec 88 800 unités (40% des ventes PSA de la zone), devant Peugeot avec 79 800 unités (36% des volumes), Citroën avec 52 900 unités et DS avec 2 600 ventes. Si DS reste en recul, les ventes de Peugeot (+23,3%) et Citroën (+19,1%) y sont en forte croissance.
    Au final, le groupe PSA a vendu 323 300 véhicules en janvier, à la fois grâce à sa performance en Europe  sur son périmètre historique (PCD) avec 232 400 unités, (+13%) et grâce à l’apport d’Opel/Vauxhall qui avec 90 900 unités apporte un supplément de volume de 40%.

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