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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 13:37

      ON VEUT DE L’EFFICACITE

Le mardi 11/07 la première réunion sur le climat social a eu lieu à 13H00.La direction a enfin pris conscience du RAS LE BOL des salariés.

Lors de cette réunion, beaucoup de points de notre tract du mardi 11/07 « On veut du concret » ont été repris par la direction et vont faire l’objet de plusieurs réunions (1 par mois dès la rentrée).

 

Le SPI/GSEA a exigé un délai de prévenance pour la programmation des séances supplémentaires et qu’une procédure soit instaurée sur les allongements d’horaires sectoriels afin que les DUR du ferrage et de la peinture ne fassent pas n’importe quoi. Que la direction prenne en compte nos revendications et programme une réunion cette  semaine.

 

Dès à présent, instauration d’une heure butoir sur le maintien ou non des allongements d’horaires.

  • Respect de l’enlignement, des contraintes, de l’équilibrage et des formations dans les 3 tournées. Le maintien des postes renforts.

Le SPI/GSEA alerte dès à présent la direction que le passage à 588Vehicules/jour sans modification d’équilibrage et sans respect de l’enlignement engendrera de l’over time régulièrement au montage.

  • Charge de travail moniteurs et RU.

Le SPI/GSEA exige le retrait de la charge moniteurs afin que ceux-ci puissent régler au plus vite les problèmes que rencontrent les salariés à leur poste de travail au quotidien, et pour les RU, plus de disponibilité pour être à l’écoute des salariés.

  • Engagement postes PQG.

Pour le SPI/GSEA ces postes doivent être des postes de contrôle pour que tous les défauts soient bien identifiés et retouchés, au plus vite, pour désengorger le BTU !

  • Utilisation d’ANDON.

Pour le SPI/GSEA, cet outil permet de remonter et de traiter les problèmes de montabilité que rencontrent au quotidien les salariés et donc d’aider celui qui fait !

  • Le manque de polyvalence engendrant des problèmes d’ergo rotation.

Le SPI/GSEA exige de l’effectif pour remettre de la polyvalence dans les équipes et donc de pouvoir réaliser de l’ergo rotation qui pour le SPI/GSEA est un facteur important des conditions de travail.

  • Comme le prévoit le NEC, le SPI/GSEA exige des embauches de contrats PRO. La direction annoncera lors du CE ordinaire du mois, le nombre d’embauches pour Sevelnord.

Pour le SPI/GSEA, le planning des réunions annoncé par la direction ne nous convient pas car il est urgent de résoudre les problèmes.

Pour le SPI/GSEA, il est grand temps de fiabiliser les installations et les ruptures d’approvisionnement. Les salariés en ont assez des heures supplémentaires.

Messieurs de la direction, le SPI/GSEA vous a remonté depuis des mois par tracts et lors d’instances CE, DP, CHSCT et même lors de réunions avec les DUR des UR tous ces irritants sociaux qui énervent les salariés !

 

 

Le SPI/GSEA, syndicat de l’emploi et de l’avenir. Uni pour construire, Utile pour tous, toujours copié mais différent des autres…

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 06:20

          ON VEUT DU CONCRET !                    

Le SPI/GSEA a été la première organisation syndicale à dénoncer le climat social POURRI que l’ensemble des salariés subisse au quotidien.

 

Depuis plusieurs mois le SPI/GSEA dénonce le manque d’effectif, le manque de polyvalence et d’ergorotation, une flexibilité à outrance avec des prévenances et des annulations tardives suite aux pannes répétitives et aux manques pièces, interprétation et abus des DUR sur l’over time et les allongements d’horaires, le non-respect des contraintes d’enlignement au montage, la pression mise par la direction sur l’utilisation d’ANDON, le non-respect des postes PQG, les problèmes récurrents à CP avec des solutions des salariés non prises en compte sans compter le mal être des salariés qui sont sur des postes sensibles avec des propos inadmissibles du directeur lors du dernier AMPHI.

 

Dans le tract du 13/06/2017 « dernière sommation » le SPI/GSEA avait exigé une réunion sociale pour connaitre les plans d’actions de la direction. Cette dernière est programmée ce jour à 13h00.

 

D’ores et déjà, le SPI/GSEA exige :

  • De l’effectif supplémentaire ainsi que l’embauche de nos contrats PRO comme il est prévu dans le NEC !
  • De connaitre les plans d’actions de la direction concernant la fiabilité des installations et des ruptures d’approvisionnement.
  • De définir des règles figées sur les séances supplémentaires, les allongements d’horaires (délai de prévenance, allongement sectoriel, etc…).
  • L’application des fondamentaux :
  • Une vraie application d’ANDON avec prise en compte et analyses des problèmes rencontrés par les salariés.
  • Retrait des charges moniteurs afin qu’ils puissent faire leurs JOB (VRS, étude de poste, etc…)
  • Respect des équilibrages dans les 3 tournées.
  • Respect des postes renforts.
  • Respect des formations aux postes.

 

Messieurs de la direction, il est grand temps de reconsidérer les salariés et de remettre le SOCIAL dans vos priorités. Un des items du NEC est le bien-être au travail et passe obligatoirement par un bon climat social ! 

 

Monsieur le directeur, apprenez à parler à vos collaborateurs car le climat social détestable est le résultat de votre comportement et de votre management.

 

Le SPI/GSEA, syndicat de l’emploi et de l’avenir. Uni pour construire, Utile pour tous, toujours copié mais différent des autres…                                   

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 06:07

Le marché automobile européen a presque retrouvé ses volumes d'avant la crise de 2008, avec une hausse de 2,1 % du nombre d'immatriculations en juin, selon les chiffres publiés vendredi.

Le groupe français Renault a immatriculé 2,8 % de voitures particulières neuves de plus qu'en juin 2016, dépassant en volume son compatriote PSA qui a signé une hausse de 4,0 %, a précisé l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA) dans un communiqué.

"Les chiffres du mois passé sont très proches de ceux de juin 2007, juste avant que l'industrie automobile n'ait été touchée par la crise économique - ce qui marque ainsi la meilleure performance du marché depuis une décennie", se réjouit l'ACEA.

L'année 2016 s'était conclue sur une croissance de 6,8 % à 14,64 millions d'unités, soit presque le niveau de 2008, avant la crise économique. A son plus bas en 2013, le marché était tombé à 11,8 millions.

Le constructeur automobile français PSA voit ses ventes croître de 4 %, avec près de 154.000 voitures vendues, tirées par la marque Peugeot (+8,7 %), tandis que Citroën n'est en hausse que de 2,9 %.

Son compatriote Renault est en hausse de 2,8 %, et a écoulé 184.170 voitures. Si la marque Dacia bondit de 11,3 %, la marque au losange en revanche stagne.

Le groupe Volkswagen, sur la première marche du podium, enregistre une hausse de 2,7 % de ses ventes, avec 344.892 vehicules vendus.

Les pays européens ne sont pas tous logés à la même enseigne. Ainsi, si les marchés italien et espagnol connaissent une forte hausse, respectivement de 12,9 % et 6,5 %, le Royaume-Uni et l'Allemagne ont vu leur ventes chuter le mois passé, respectivement de 4,8 % et 3,5 %.

Sur l'ensemble du premier semestre, la hausse est de 4,7 %, et ce sont plus de 8 millions de véhicules neufs qui ont été immatriculés en Europe.

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 06:01

Le constructeur automobile français PSA affiche des ventes mondiales en légère hausse au premier semestre, grâce à l'accélération de sa production sous licence Peugeot en Iran et malgré un nouveau dérapage en Chine que le groupe espère enrayer rapidement.

Le tableau de bord est plutôt positif: presque 1,58 million de véhicules commercialisés de janvier à juin contre un peu plus de 1,54 million l'an dernier à la même période, soit 2,3 % de mieux, précise PSA dans un communiqué.

Mais le groupe français ne doit ce bon résultat qu'à la montée en puissance de son partenariat avec Iran Khodro, qui a produit en six mois près de 208.000 véhicules sous licence Peugeot, contre seulement 11.000 un an plus tôt.

Sans son partenaire iranien, PSA afficherait donc une baisse de plus de 10 % de ses ventes.

"L'Iran est un +booster+ extraordinaire en termes de volume et d'image", a confirmé à l'AFP le directeur de la marque Peugeot, Jean-Philippe Imparato, qui estime qu'un objectif de 400.000 ventes sur ce marché en fin d'année est "largement à portée".

D'autant que les vieux modèles 405 et 206 assemblés par Iran Khodro seront complétés à partir du second semestre par les nouveaux 208, 2008 et 301 produits sur place, avec un objectif à terme de 200.000 unités par an.

"On va faire tout ce qui est en notre pouvoir pour soutenir nos développements là-bas", a-t-il affirmé, encouragé par les préventes locales du 2008, le SUV (4X4 urbain) ayant enregistré "15.000 commandes en 48 heures au mois de juin", ce qui dénote "un appétit extrêmement fort pour les nouveaux produits".

L'autre marque phare de PSA, Citroën, a aussi pris position sur ce marché dynamique, sa coentreprise avec l'iranien Saipa devant produire ses premiers véhicules en 2018 et livrer 150.000 unités par an d'ici 2021.

chute en Chine

Le constructeur français est en revanche en mauvais posture en Chine, où ses ventes se sont encore effondrées au premier semestre.

La zone "Chine et Asie du sud-est" a ainsi totalisé 152.380 véhicules commercialisés de janvier à juin, soit une chute de 48,6 % sur un an.

En difficulté sur le marché chinois depuis 2016, le groupe rappelle qu'il a "mis en place des plans d'actions spécifiques" pour relancer ses deux coentreprises locales.

PSA a notamment annoncé en juin un investissement de 500 millions d'euros avec son partenaire Changan pour "accélérer le développement" de sa marque de luxe DS, en perte de vitesse dans ce pays.

Du côté de Peugeot, "on a coché les cases du redressement", assure M. Imparato, précisant que sa marque a déjà revu sa gamme de véhicules et ses politiques commerciales dans le pays.

La restructuration du réseau de concessionnaires "est en cours", de même que "la révision de l'efficience des politiques marketing et des dépenses médias", a-t-il ajouté, espérant parvenir à juguler la baisse de ses ventes à moins de 10 % sur les derniers mois de l'année.

En Europe, principal marché de PSA, le groupe a enregistré un repli de 1,9 % au premier semestre, dû aux mauvaises performances de la marque DS, mais les ventes restent tout de même au-dessus du seuil du million de véhicules (1,03 millions).

Pour Peugeot, malgré un léger tassement en volume, la part de marché de la marque "a progressé de 0,1 point" depuis le début de l'année et "va continuer à progresser" au second semestre, prédit M. Imparato.

PSA peut aussi se satisfaire de sa bonne performance en Amérique latine, où ses ventes ont augmenté de 8,5 % au premier semestre à 96.357 unités.

Le constructeur publiera ses résultats financiers semestriels le 26 juillet.

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 05:55

Pour développer le marché des véhicules électriques, il faudrait construire 40 usines de fabrication de batteries dans le monde, pour un coût estimé à 172 milliards d'euros...

Portés par les préoccupations environnementales et le discours des politiques, tous les constructeurs automobiles misent sur un développement rapide des véhicules électriques. PSA-Peugeot Citroën prévoit ainsi de lancer d'ici à 2021 quatre voitures électriques et sept véhicules hybrides rechargeables. Volkswagen envisage de commercialiser d'ici à 2025 une trentaine de modèles électriques qu'il souhaite écouler à 3 millions d'exemplaires. Volvo veut vendre dans le même temps un million de véhicules électriques et hybrides dans le monde... Le tout sur un marché qui, en 2025, devrait dépasser les 100 millions d'unités vendues dans le monde . 

Problème : si tous les constructeurs réalisaient 20 à 25% de leurs ventes totales avec des modèles électriques, il faudrait construire 40 usines de fabrication de batteries dans le monde pour satisfaire la demande. Selon Ulrich Eichhorn, le responsable de la R&D du groupe Volkswagen, c'est 40 fois la capacité de production de la Gigafactory de Tesla. Or, cette usine va nécessiter à elle seule l'équivalent de 4,3 milliards d'euros d'investissement pour produire à terme 500 000 batteries. A partir de cette base, il faudrait donc mettre sur la table 172 milliards d'euros en huit ans dans le monde pour pouvoir faire rouler toutes les voitures électriques.  

 - L'usine de batteries de Tesla, grande comme sept terrains de football (document Tesla)

Cette projection théorique risque de devoir être revue à la baisse. L'Organisation des producteurs de pétrole (Opep) assure dans un dernier rapport que les véhicules électriques ne représenteront que 1% des ventes mondiales en 2040. Et au mieux, certains constructeurs comme PSA tablent sur une part de marché de 4 à 6% en Europe et en Asie à l'horizon 2025. 

Une baisse des coûts de production 

Cette perspective réaliste devrait être rendue possible grâce à une baisse drastique des coûts de fabrication des batteries. En outre, dans les dix ans à venir, de nouvelles technologies vont permettre d'accroître l'autonomie des batteries.

Selon une étude du cabinet Blackrock Investment Institute, le prix du kilowatt-heure pour une batterie de voiture devrait passer de 350 euros actuellement à 80 euros en 2025. Dans le même temps, les experts estiment qu'une rupture technologique devrait intervenir vers 2020 avec une forte progression des capacités des batteries sans hausse de poids. L'autonomie d'un véhicule électrique pourrait atteindre 600 km, contre 200 aujourd'hui, avec à la clef une baisse des prix à l'achat. Actuellement, la batterie représente un tiers du prix final d'un véhicule électrique. 

La fabrication de batteries devient un enjeu stratégique pour les économies mondiales. Avec le risque d'une nouvelle dépendance à l'électron plutôt qu'à l'or noir. Pour le moment, hormis l'Européen Bolloré, les cinq as du secteur sont asiatiques, Panasonic en tête. L'Allemand Daimler veut investir un milliard d'euros dans une usine d'assemblage de batteries. Mais l'Institut français des relations internationales (Ifri) dénonce dans un rapport l'attentisme de l'Europe alors que les fabricants américains et asiatiques bénéficient de subventions.

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 05:35

Le constructeur automobile PSA (Peugeot, Citroën, DS) a mis en avant mardi la "dynamique de co-construction" engagée depuis un an avec les syndicats, tout en reconnaissant un "point de crispation" sur la modulation de l'organisation du travail. Un an après la signature d'un accord social triennal (2017-2019) avec cinq syndicats, le dialogue social est "mature, éminemment responsable" et constitue un "véritable levier de performance", s'est félicité Xavier Chéreau, DRH du groupe PSA, devant la presse.

"L'opposition" entre partenaires sociaux a laissé la place "à une véritable dynamique de co-construction", notamment au sein du comité paritaire stratégique où les projets de l'entreprise sont "partagés" dans une "confidentialité totale", a-t-il relevé. Au-delà des engagements respectés en matière de production (1 million de véhicules par an), d'emploi (170 CDI recrutés depuis janvier, sur le millier attendu d'ici-2019) et d'intéressement (2.000 euros nets minimum pour 2016), le dirigeant s'est attardé sur la "révolution culturelle" permise selon lui par l'accord.

Il a cité la possibilité pour tout salarié, hors production, d'opter pour le télétravail, jusqu'à trois jours par semaine, ou pour le travail à distance (dans un lieu choisi par le salarié, après accord avec le manager) dans la limite de 25 jours par an. Selon M. Chéreau, ce dispositif qui concerne actuellement 17.000 personnes illustre la "culture de résultat et pas de présence" souhaitée par PSA. Dans les usines, en revanche, le DRH a reconnu qu'il existait un "point de crispation" autour de la modulation du travail. Les syndicats signataires de l'accord ont récemment critiqué une "gestion à la dernière minute" conduisant à un "climat social exécrable" (CFTC, CFE-CGC, SIA), un "recours à la flexibilité à outrance" avec des débordements ou des changements d'horaire fréquents (CFDT).

L'entreprise s'est "un peu trop focalisée au début sur la production", bousculée par ses "succès" commerciaux et "quelques difficultés avec les fournisseurs" sur lesquelles la direction n'a pas assez communiqué, a admis M. Chéreau. Si les "incompréhensions" ont été levées avec les syndicats, selon lui, PSA devra tout de même à l'avenir "anticiper beaucoup mieux" les situations de crise, de façon à avoir "le moins de dysfonctionnements possibles en production".

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 05:28

Les ventes mondiales du Groupe PSA ont progressé de 2,3 % au premier semestre, à 1 580 000 unités. En Europe, son principal marché, le constructeur a enregistré un repli de 1,9 %, dû aux mauvaises performances de sa marque de luxe DS, mais reste tout de même au-dessus du million de véhicules écoulés (1,03 million). La situation est plus préoccupante en Chine, où les ventes du groupe ont plongé de 48,6 %, à 152 380 unités, les trois marques accusant une baisse à deux chiffres. Le constructeur sauve toutefois la mise grâce à la zone « Moyen-Orient et Afrique », où ses ventes ont plus que triplé sur six mois, à 277 931 unités, dont 207 900 véhicules produits en Iran sous licence Peugeot. Le Groupe PSA a aussi écoulé davantage de véhicules en Amérique Latine, où ses volumes ont augmenté de 8,5 % au premier semestre, à 96 357 unités. (AFP)

Avec Cardayz, PSA Retail se dote d’un outil stratégique et opérationnel afin de développer le métier du véhicule d’occasion, couvrir efficacement l’ensemble de ce marché prioritaire et renforcer la satisfaction client. Cardayz.fr, c’est le site d’achat et de vente VO en ligne d’un acteur majeur de la distribution automobile en Europe, associé à des promesses client, claires et ambitieuses. (Communiqué de presse Groupe PSA)

Le Citroën Berlingo Multispace est désormais disponible en France en version électrique. Le E-Berlingo Multispace permet d’associer toute la polyvalence du Berlingo pour un usage quotidien, les loisirs ou une activité professionnelle, aux avantages d’une chaîne de traction électrique. Il conserve tous les atouts de modularité, de volume, de confort et d’équipements, qui font de lui la référence sans cesse renouvelée du segment des ludospaces dont il est le créateur. Proposé en finitions Feel et Shine à partir de 24 100 euros (après déduction du bonus écologique), le nouveau E-Berlingo Multispace enrichit l’offre Citroën de voitures électriques constituée de C-Zéro, E-Mehari et Berlingo VU Electric. (Communiqué de presse Citroën)

Le directeur du commerce France de Peugeot Guillaume Couzy indique que la dynamique du 3008 ne se dément pas. « Après plus de 65 000 commandes enregistrées depuis le lancement, nous disposons encore d’environ 20 000 unités en portefeuille », se félicite-t-il, ajoutant que, depuis le début de l’année, Peugeot a par ailleurs enregistré 10 000 commandes de 5008 et que 4 000 exemplaires ont été livrés. « C’est un bon rythme. Nos estimations pour ces deux modèles prévient une répartition des volumes de deux tiers de 3008 et un tiers de 5008 », souligne-t-il. « Peugeot bénéficie d’un vrai phénomène SUV avec les 3008, 5008 et 2008. Trois voitures qui possèdent des notes d’image très élevées et qui tirent la marque vers le haut. Notre panier moyen a d’ailleurs progressé de 4,5 % entre 2016 et 2017, passant de 24 924 à 26 047 euros TTC », détaille le dirigeant. (L’Argus)

Au premier semestre, Peugeot a vendu 1 025 000 véhicules, en hausse de 15 % ce qui le place sur la bonne trajectoire pour atteindre son objectif de 2 millions de ventes sur l’ensemble de 2017. Ses ventes hors Europe ont progressé de 46 % sur six mois. Elles représentent désormais 41 % de ses ventes mondiales, en ligne avec l’objectif 2017 de 45 % de ventes hors Europe et avec l’engagement de réaliser 50 % des ventes hors Europe à l’horizon 2020. (Communiqué de presse Peugeot)

Hyundai France vient de mettre sur le marché la version hybride rechargeable de la iOniq, qui devrait donner lieu à quelque 200 ou 300 immatriculations en année pleine dans l’Hexagone. (Journalauto.com)

La hausse de la fiscalité sur le diesel liée à la politique de convergence avec la fiscalité sur l’essence rapportera deux milliards d’euros à l’Etat en 2018, a indiqué le 12 juillet le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. (Bfmtv.com)

Le 8 juillet 2016, cinq organisations syndicales représentant 80 % des salariés signaient l’accord de performance baptisé « Nouvel Elan pour la Croissance », visant à soutenir le déploiement du plan stratégique Push to pass et la croissance du Groupe PSA, avec 3 ambitions : accompagner la performance et l’agilité pour protéger l’entreprise et ses emplois, développer l’expérience salarié, en intégrant notamment le bien-être au travail, et renforcer le leadership social avec les partenaires sociaux, ainsi que le management pour co-construire l’avenir du Groupe PSA. (Communiqué de presse Groupe PSA)

PSA Retail s’associe à Car Avenue, Grand Est Automobiles et Groupe Nedey Automobiles, pour construire et développer la plus grande Plateforme de Distribution de Pièces de Rechange Automobiles en Alsace et une des plus importantes de France. La première pierre de cette ambitieuse plateforme a été posée le 11 juillet à Obernai, en présence du maire de la ville Bernard Fischer, ainsi que des dirigeants des quatre groupes qui portent le projet. (Communiqué de presse Groupe PSA)

Le Groupe PSA peine à recruter 1 000 intérimaires nécessaires au démarrage d’une équipe de week-end début septembre sur son site de Sochaux (Doubs), une situation inédite pour le constructeur, a-t-on appris le 11 juillet auprès la direction de PSA-Sochaux. L’usine recherchait encore mardi 500 salariés en intérim afin de constituer sa nouvelle équipe de travail VSD (vendredi, samedi, dimanche), alors qu’elle espérait boucler autour de la mi-juillet ce recrutement qui porte sur 1 000 personnes, a indiqué son porte-parole à l’AFP.

Au terme d’une longue réunion de cinq heures qui s’est tenue à Bercy le 11 juillet, le Groupe PSA et Renault ont revu à la hausse leurs engagements vis-à-vis de GM&S, actuellement en liquidation judiciaire. En présence de toutes les parties prenantes au dossier, du ministre de l’Economie Bruno Le Maire et du secrétaire d’Etat Benjamin Griveaux, les deux constructeurs ont annoncé leur intention de porter leurs engagements de commandes de trois à cinq ans pour des montants respectifs annuels de 12 et 10 millions d’euros, indique le ministère dans un communiqué. (Echos.fr)

Valeo a annoncé qu’il comptait céder certaines activités afin que la Commission européenne approuve son rachat de l’Allemand FTE, une opération qui rend Bruxelles méfiante en matière de concurrence. « Valeo envisage donc de céder ses activités dans le domaine des actionneurs hydrauliques passifs afin d’être autorisé par la Commission européenne à acquérir FTE », a annoncé le groupe français dans un communiqué. (AFP)

Renault et le Groupe PSA sont en train d’installer l’Internet sans fil dans leurs usines. « C’est compliqué. Ce sont des grandes surfaces, avec de grands volumes, il y a des cages de Faraday [un phénomène qui perturbe les ondes] partout. Et nous voulons obtenir un débit suffisant pour faire passer des vidéos », explique Eric Marchiol, responsable numérique de l’entité industrielle de Renault, qui a pour ambition de connecter les hommes et les machines des sites du constructeur cette année. Chez PSA, on mesure également l’ampleur de la tâche. Le groupe veut aussi du wifi sur ses lignes de fabrication, à commencer par les ateliers de montage et de ferrage. « On vise un réseau évolutif, robuste et fiable, pour faire communiquer les machines entre elles, optimiser les flux logistiques et les déplacements du personnel », dit-on en interne. (Echos)

Pour faire face au succès du Peugeot 3008, l’usine PSA de Sochaux réduit sa période de congés avec une fermeture le 28 juillet au soir et une reprise le 16 août au matin. Les trois jours de gagnés représentent une production d’environ 3 300 véhicules au rythme actuel. Ces dernières années, l’usine avait déjà réduit sa période de fermeture, passant des traditionnelles 4 semaines à 3 semaines. L’usine de Mulhouse, qui produit le 2008, restera d’ailleurs sur une fermeture de 3 semaines. (Autoactu.com)

Le directeur général de DS Automobiles Yves Bonnefont explique qu’il dispose d’un réseau de commercialisation surdimensionné pour DS. « J’ai vendu 65 000 voitures en Europe, alors je n’ai pas besoin d’un réseau conçu pour un million de ventes », souligne-t-il. Actuellement, la plupart des modèles DS sont vendus dans les concessions Citroën car la marque a fait ses débuts dans le giron de la marque aux chevrons. Depuis que DS a pris son indépendance en 2014, les forces de vente ne sont pas optimales car elles sont principalement spécialisées dans la vente de modèles Citroën. Pour remédier à cela, M. Bonnefont compte réduire le nombre de points de vente et créer des surfaces séparées, afin de compter 400 unités DS d’ici à la fin de l’année. (Automotive News Europe)

Citroën a décidé de confier son budget publicitaire global à la première agence française. Ce nouveau client sera accueilli au sein d’une structure créée pour lui, intégrée et internationale, baptisée Traction, dirigée par Bertille Toledano et Stéphane Xiberras, présidents de BETC. Traction a été pensée pour relever les défis stratégiques et créatifs qui sont ceux d’une marque d’envergure mondiale. (Communiqué de presse Citroën et Traction)

Renault s’apprête à commercialiser un Trafic de haut de gamme dédié au transport de personnes, baptisé SpaceClass, dont l’habillage intérieur a été confié au constructeur-carrossier Gruau. Ses tarifs débutent à 41 500 euros TTC. (Journalauto.com)

Le canal historique n’est plus celui qui domine chez Renault. La télévision va céder son trône au média digital en 2017, selon les prévisions faites en interne. « Pour la première fois, en 2017, nous investissons plus dans les médias digitaux que dans la TV », confirme Valérie Candeiller, directrice de la publicité de Renault France. Sans préciser la répartition exacte entre tous les ressorts, elle affirme que « le delta entre les deux sera de 5 % ». (Journalauto.com)

Au premier semestre de 2017, Suzuki France affiche d’excellents résultats avec des ventes en hausse de 22,9 %, à 12 270 unités. Le cap des 25 000 immatriculations devrait être franchi sur l’ensemble de l’année, alors qu’un objectif de 23 000 unités avait initialement été fixé. (Journalauto.com)

Nicolas Hulot, qui a annoncé la fin de la vente des véhicules à essence et diesel pour 2040, souhaite aider les ménages à se débarrasser des modèles les plus anciens et les plus polluants en offrant aussi une prime à l’achat de véhicules d’occasion. Grâce à cette prime, « on va donner la possibilité d’acheter un véhicule d’occasion car tout le monde n’aura pas la possibilité dans l’immédiat de s’acheter un véhicule neuf », a déclaré le ministre de la Transition écologique le 10 juillet sur RTL. Cette prime, dont le montant n’a pas été précisé, sera offerte aux propriétaires d’un véhicule diesel datant d’avant 1997 ou à essence d’avant 2001 qui achètent un véhicule plus propre neuf ou d’occasion. (AFP)

En raison d’une remontée des cours du pétrole, les tarifs des carburants à la pompe ont fluctué la semaine dernière, à 1,17 euro en moyenne le litre de gazole (+ 1 centime), 1,315 euro le litre d’essence sans plomb 95 (- 0,7 centime), 1,301 euro le litre de SP95-E10 (+ 0,1 centime), 1,389 euro le litre de SP 98 (- 0,2 centime) et 0,735 euro le litre de GPL (- 0,9 centime), indique le ministère de l’Ecologie et de l’Energie. (Autoplus.fr)

Véhicules connectés et autonomes

Robin Li, le président du groupe chinois Baidu, se dit convaincu que les voitures autonomes seront plus sûres que les voitures conventionnelles (avec un conducteur). (Gasgoo.com)

Autotech Ventures, une société de capital-risque de la Silicon Valley, a levé 120 millions de dollars auprès d’entreprises automobiles et d’autres investisseurs pour un fonds qui investira dans des start-ups qui travaillent sur les services de transport et les technologies numériques pour les véhicules. (Automotive News)

Le 12 juillet à 10h30 sur le réseau Vinci Autoroutes, un véhicule autonome – en l’occurrence un Citroën C4 Picasso du Groupe PSA - a franchi pour la première fois une barrière de péage en totale autonomie. Le véhicule a passé le péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines, le plus grand d’Europe, sans aucune intervention du conducteur, grâce à une communication spécifique établie entre le véhicule et l’infrastructure. (Communiqué de presse Groupe PSA)

Depuis le 11 juillet, les habitants de Pibrac, à l’ouest de Toulouse (Haute-Garonne), peuvent croiser la navette autonome EZ10. Dans le cadre des projets Smart City portés par Toulouse Métropole, ce véhicule autonome électrique conçu par la société locale Easymile n’a besoin ni de conducteur, ni d’une infrastructure dédiée pour ses déplacements. « La navette EZ10 se déplace sur des trajets courts, simples et programmés, grâce à ses technologies de guidage : le GPS, le laser et des caméras », indique Toulouse Métropole. (Aujourd’hui en France)

A l’occasion de son premier « Audi Summit », organisé à Barcelone, la marque aux anneaux a présenté sa nouvelle A8, dont la version de série sera déjà « hautement automatisée ». (Communiqué Audi)

Renault et Sanef, premier opérateur mondial d’autoroutes, propriété du groupe Abertis, ont annoncé le 10 juillet une coopération pour développer les communications entre les véhicules autonomes et les infrastructures routières, et tester le passage des barrières de péage ainsi que l’approche des zones de travaux. Ce partenariat contribue aux objectifs communs visant à accroître la sécurité routière, afin d’éliminer la mortalité sur les routes, et à créer une expérience de conduite « eyes off/hands off », pour donner du temps libre aux voyageurs. (Communiqué de presse Renault)

International

Toyota Motor North America (TMMA), qui fête cette année ses soixante ans d’activité, vient d’inaugurer son nouveau siège social. Ce site ultramoderne, installé à Plano au Texas, s’inscrit dans le cadre d’un vaste plan d’investissement de 10 milliards de dollars sur cinq, baptisé "One Toyota", et destiné à unifier dans un même lieu l’ensemble de ses établissements d’Amérique du Nord. (Journal de l’Automobile)

127 297 véhicules légers neufs ont été vendus au Mexique en juin (- 5,3 %). (Wardsauto.com)

Les ventes de Toyota en Russie ont augmenté de 28 % en juin, à 9 059 unités, mais reculent de 1 % sur le premier semestre, à 43 895 unités. Le crossover RAV4 est le modèle le plus vendu de Toyota sur le marché russe, avec 16 016 unités écoulées au premier semestre. (Autostat)

Le fonds d’investissement du groupe BMW, BMW i Ventures, a investi dans la start-up allemande Caroobi, qui met des clients en relation avec des garages automobiles via une application. (Automobilwoche)

FCA fermera le 31 août son usine de Conner Avenue, à Detroit, qui assemble la Dodge Viper. (Freep.com)

Le groupe BMW a vendu 232 620 voitures en juin (+ 2,1 %), dont 192 873 BMW (+ 2,0 %) et 39 443 Mini (+ 3,0 %) ; sur 6 mois, le groupe a vendu 1 220 819 unités (+ 5,0 %), dont 1 038 030 BMW (+ 5,2 %) et 181 214 Mini (+ 3,6 %). (Communiqué BMW)

A l’instar de Volkswagen, Daimler aurait lui aussi manipulé les niveaux d’émissions de plus d’un million de véhicules diesel ; deux types de moteurs (OM 642 et OM 651) seraient affectés et les manipulations auraient eu lieu entre 2008 et 2016. (Ensemble de la presse)

La CAAM (association des constructeurs d’automobiles en Chine) a publié les chiffres détaillés du marché automobile chinois ; au premier semestre, 13 354 000 véhicules ont été vendus en Chine (+ 3,8 %), dont 11 2563 000 voitures particulières (+ 1,6 %) et 2 101 000 véhicules commerciaux (+ 17,4 %). (Communiqués CAAM)

Le salon de l’automobile de Detroit continuera à se tenir au Cobo Center, le parc des expositions de la ville, au moins jusqu’en 2025. (Freep.com)

Nissan introduira une seconde équipe dans son usine de Saint-Pétersbourg à partir du mois d’octobre prochain, afin d’y accroître de 25 % environ sa production par rapport à 2016. L’initiative permettra la création de 450 emplois. La production de l’usine s’est établie à 36 468 unités en 2016. (Autostat)

Les exportations d’automobiles coréennes ont augmenté de 4,2 % en valeur au premier semestre (à 21,5 milliards de dollars), selon le ministère coréen du Commerce, de l’Industrie et de l’Energie. (Yonhap)

Malgré une santé recouvrée, les constructeurs d’automobiles sont actuellement confrontés à l’envolée de leurs dépenses, relève une étude du cabinet AlixPartners, selon laquelle les industriels du secteur affichent en ce moment des performances économiques jamais vues depuis dix ans - grâce à la croissance du marché chinois, d’abord, et à leurs restructurations, aussi. Concrètement, les groupes américains ont doublé leur rentabilité par rapport à la période 2007-2009, de même que les asiatiques, tandis que les européens n’ont gagné « que » 50 % - le tout pour une marge opérationnelle globale de 6,2 % en 2016. L’an dernier, la recherche-développement et les dépenses industrielles du secteur ont atteint 181 milliards d’euros, sur un chiffre d’affaires global de 1 650 milliards. (Echos)

Fiat Chrysler a recommencé à fabriquer des pick-ups Ram diesel aux Etats-Unis. (Freep.com)

La part de marché de Renault en Russie a atteint le niveau record de 8,5 % au premier semestre de 2017, en hausse de 0,7 point, grâce à la vente de 60 834 véhicules (+ 17 %). Renault a notamment dominé le segment des SUV en Russie au premier semestre, avec 44 750 unités écoulées (+ 32 %). (Autostat)

Hyundai a annoncé qu’il dévoilerait un nouveau véhicule à pile à combustible au mois d’août. (Yonhap)

Le Hyundai Creta a été le tout-terrain de loisir le plus vendu en Russie en juin et sur six mois, devant le Renault Duster. (Autostat)

Via sa filiale EvoBus, Daimler a pris une participation minoritaire dans CleverShuttle, une start-up berlinoise fournissant des services de mobilité. (Automobilwoche)

Lamborghini a récemment ouvert le bâtiment Centro Restauro dédié à son département PoloStorico (Pôle Historique), dont la vocation est de préserver les voitures de collection de la marque. C’est là que les propriétaires d’anciennes Lamborghini peuvent faire entretenir, réparer ou restaurer leurs précieux véhicules. (Auto Plus)

Porsche a vendu 126 497 voitures au premier semestre (+ 7 %), grâce notamment à une hausse de 18 % en Chine. (Communiqué Volkswagen)

22 465 voitures électrifiées (ce qui comprend les électriques, les hybrides rechargeables et les modèles à pile à combustible) ont été vendues en Allemagne au premier semestre (+ 113 %). (Automobilwoche)

La start-up Faraday Future (financée par le fondateur de la société chinoise LeEco, Jia Yueting) a arrêté la construction d’une usine d’assemblage de véhicules électriques d’un coût d’un milliard de dollars dans l’Etat du Nevada. (Automotive News)

BMW devient motoriste officiel de l’écurie Andretti, pour la saison 2018/2019 du championnat de Formule E. (Automobilwoche)

VW Credit, la captive américaine du groupe Volkswagen, a décidé à son tour d’investir dans la start-up AutoGravity, dans laquelle Daimler a récemment investi plus de 10 millions d’euros. (JournalAuto.com)

Quelque 2,2 millions de véhicules ont été vendus en Chine au mois de juin (+ 4,5 %), dont 1,8 million de voitures particulières (+ 2,3 %). Au premier semestre, les ventes de véhicules neufs ont augmenté de 3,8 %, à 13,4 millions d’unités. (Xinhua News)

La London Taxi Company (LTC), qui fabrique les célèbres taxis noirs londoniens, a présenté hier un nouveau taxi électrique à prolongateur d’autonomie, le LEVC TX. (Ensemble de la presse)

Nissan estime que les véhicules Zéro Emission représenteront jusqu’à 20 % de ses ventes en Europe d’ici à 2020. Nissan a en outre accueilli favorablement la décision du gouvernement français d’encourager les achats de véhicules "verts". (Automotive News Europe)

Tesla va étendre son réseau de centres d’entretien dans le monde pour répondre aux besoins des nombreux nouveaux clients qu’il espère séduire avec la Model 3. (Associated Press)

Toyota va investir 100 millions de dollars dans la création d’un fonds de capitaux destiné aux start-ups spécialisées dans la robotique, l’intelligence artificielle, la conduite autonome et les données. La nouvelle filiale, Toyota AI Ventures, sera dirigée par Jim Adler, directeur Data et Développement du Toyota Research Institute. (Automotive News)

L’administrateur de l’EPA (agence américaine de protection de l’environnement), Scott Pruitt, a promis la fermeté envers les constructeurs qui tricheraient sur les émissions de leurs véhicules diesel. (Reuters)

Les autorités américaines ont annoncé que Takata devrait rappeler 2,7 millions d’airbags supplémentaires, installés dans des modèles Ford, Nissan et Mazda des années 2012 à 2015. Nissan rappellera ainsi 515 000 véhicules, Ford 2,2 millions et Mazda 6 000. (Automotive News)

La production de véhicules au Mexique a augmenté de 4,9 % en juin (à 334 606 unités), tirée par des exportations record (+ 12 %, à 276 626 unités), a annoncé l’AMIA (association de l’industrie automobile mexicaine). (Reuters)

Les ventes de Jaguar Land Rover ont augmenté de 11 % en juin, à 51 591 unités. (Economic Times)

Le gouvernement serbe a exhorté les ouvriers de l’usine Fiat de Kragujevac à mettre un terme à leur grève entamée fin juin. "Fiat ne négocie pas tant qu’une grève est en cours", a déclaré Ana Brnabic, Première ministre serbe, promettant l’ouverture de pourparlers "dans l’heure qui suivrait l’interruption de la grève". Les ouvriers réclament une augmentation des salaires, à 370 euros par mois, contre 300 en moyenne actuellement. (AFP)

Aston Martin a lancé la DB11 V-8, sa première voiture équipée du moteur turbo de 4 litres développé par la division AMG de son partenaire Daimler. (Automotive News Europe)

Les autorités néerlandaises ont informé le parquet du possible usage par Suzuki et Fiat Chrysler d’un logiciel minimisant le niveau réel des émissions de gaz nocifs lors des contrôles de pollution. Selon le rapport du RDW, le Vitara de Suzuki et le Grand Cherokee de Jeep "ont des émissions d’oxyde d’azote (NOx) plus élevées que ce qui pourrait être justifié". (AFP)

Hyundai a reçu plus de 7 000 commandes pour le Kona depuis son lancement il y a deux semaines. (Yonhap)

DriveNow, le service d’autopartage de BMW et Sixt, va être lancé dans la ville de Lisbonne. (Automobilwoche)

Geely débute la production dans sa nouvelle usine à Nanchong (province du Sichuan). Le site devrait afficher à terme des capacités de production de 100 000 véhicules par an. (Gasgoo.com)

Le constructeur chinois Chery a vendu 36 342 véhicules en juin (+ 20,5 %). (Gasgoo.com)

Le groupe chinois Great Wall a vendu 64 471 véhicules en juin (- 1,7 %) et 460 743 unités sur les six premiers mois de l’année (+ 2,3 %). (Automotive News China)

Le constructeur chinois Guangzhou Auto (GAC) a vendu 43 360 véhicules en juin (+ 39 %) et 250 878 unités sur 6 mois (+ 57 %). (Automotive News China)

Les ventes d’AvtoVAZ en Russie ont augmenté de 23,2 % en juin, à 27 396 unités, portant le volume pour le premier semestre de 2017 à 140 231 unités, en hausse de 12,8 %. La Lada Granta est le modèle le plus populaire du constructeur, avec 8 552 unités écoulées en juin (+ 18,5 %). (Autostat)

L’aciériste américain AK Steel a conclu un accord pour racheter le fournisseur automobile canadien Precision Partners. (Automotive News Canada)

Le parquet de Stuttgart a annoncé qu’il soupçonnait des salariés de Porsche dans l’affaire des moteurs truqués ; jusqu’à présent, la marque sportive était relativement épargnée par le scandale. (Ensemble de la presse)

Les salariés de BMW au Royaume-Uni ont accepté le changement de leur système de retraite, au vu des nouvelles conditions qu’ils ont obtenu suite à une grève qui s’était déroulée en avril. (AFP)

Les ventes d’Audi et de Volkswagen en Chine ont augmenté le mois dernier, de 1,7 % pour Audi (à 51 900 unités) et de 5,4 % pour Volkswagen (à 232 400 unités). (Automotive News China)

La marque Volkswagen a vendu 512 700 voitures en juin (+ 4,0 %) et 2 935 100 unités sur six mois (+ 0,3 %). (Communiqué Volkswagen)

Hyundai et Kia ont constitué une équipe de 100 personnes pour relancer leurs ventes en Chine. (Korea Herald)

Audi a vendu 170 650 unités dans le monde en juin (+ 1,0 %) et 908 950 unités au premier semestre (- 4,7 %). (Communiqué Volkswagen)

Honda a confirmé un onzième décès aux Etats-Unis dû à un airbag défectueux de Takata. L’accident est survenu en juin 2016 en Floride. "Le véhicule, une Accord, faisait partie d’un lot de plus de 300 000 modèles rappelés, mais le propriétaire ne l’a jamais présenté au garage", souligne Honda. (Automotive News)

Le ministère coréen des Transports a annoncé que les prix des péages autoroutiers pour les voitures électriques et à pile à combustible seraient réduits de moitié à compter du mois de septembre. (Yonhap)

Dans l’Europe des 15, la part de marché des véhicules diesel est passée de 52,1 % en 2015 à 49,9 % en 2016, mais ce recul a été compensé par une hausse des ventes de véhicules à essence, dont la part de marché est passée de 43,5 % à 45,8 % sur la même période. La part des véhicules à carburant alternatif s’est quant à elle établie à 4,2 % l’an dernier, en baisse de 0,3 point. (Communiqué de presse Acea)

Le groupe Renault célèbre la production du millionième véhicule dans son usine de Tanger. Il s’agit d’un Dacia Lodgy à 5 places, de couleur bleu azurite, équipé d’un moteur diesel et destiné à un client en Turquie. Au total, 474 840 Sandero, 320 078 Dokker et 193 181 Lodgy ont été fabriqués depuis l’ouverture du site en 2012. En plus de couvrir le marché marocain, les modèles fabriqués à Tanger sont exportés vers plus de 73 destinations. (Communiqué de presse Renault)

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17 juillet 2017 1 17 /07 /juillet /2017 05:20

Renault et le Groupe PSA sont en train d’installer l’Internet sans fil dans leurs usines. « C’est compliqué. Ce sont des grandes surfaces, avec de grands volumes, il y a des cages de Faraday [un phénomène qui perturbe les ondes] partout. Et nous voulons obtenir un débit suffisant pour faire passer des vidéos », explique Eric Marchiol, responsable numérique de l’entité industrielle de Renault, qui a pour ambition de connecter les hommes et les machines des sites du constructeur cette année. A Cléon (Seine-Maritime), la marque au losange met sur pied un réseau wifi sur le tiers de la surface de l’usine, soit 50 hectares. Le chantier, qui se chiffre en millions d’euros rien que pour le matériel, doit être achevé d’ici à la fin de l’année.

A l’échelle du groupe, M. Marchiol a 6 000 robots et 300 presses estampillés Renault à connecter. « Les machines les plus récentes ont des cartes wifi. Mais nous devons connecter les autres à la main, nous installons des capteurs qui ont le wifi intégré », détaille l’ingénieur.

Chez PSA, on mesure également l’ampleur de la tâche. Le groupe veut aussi du wifi sur ses lignes de fabrication, à commencer par les ateliers de montage et de ferrage. « On vise un réseau évolutif, robuste et fiable, pour faire communiquer les machines entre elles, optimiser les flux logistiques et les déplacements du personnel », dit-on en interne. Chez Peugeot et Citroën, on a même détecté une autre difficulté : le mouvement. « Les caristes doivent continuer de recevoir des commandes pendant qu’ils se déplacent pour assurer une communication en temps réel », pointe-t-on.

Dernier détail pour rajouter à la difficulté globale du sujet : la cybersécurité. « Un réseau filaire est protégé physiquement par essence, un malveillant doit s’y brancher. Un réseau wifi, lui, est hors les murs, le signal peut être capté depuis le parking, une tablette peut être volée par un prestataire », énumère Laurent Hausermann, fondateur de Sentryo, un spécialiste du sujet. Nul doute que PSA et Renault, après l’attaque subie par le second au mois de mai (qui l’avait obligé à stopper un grand nombre d’usines), sont conscients de l’enjeu.

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12 juillet 2017 3 12 /07 /juillet /2017 05:39

Avec 230 940 immatriculations en juin 2017, le marché français des voitures particulières a progressé de 1,6 % en données brutes (+ 6,4 % à nombre de jours ouvrables comparable ; 21 jours, contre 22 en juin 2016). Sur le premier semestre, le marché s’est établi à 1 135 281 unités, en hausse de 3 % en données brutes et de 3,8 % à nombre de jours ouvrables comparable (125 jours, contre 126 sur les six premiers mois de 2016).

Le marché des véhicules utilitaires légers a augmenté de 1,9 % en juin, à 46 355 unités (+ 6,7 % à nombre de jours ouvrables comparable), et de 6,3 % sur six mois, à 229 618 unités (+ 7,1 % à nombre de jours ouvrables comparable).

Avec 5 462 immatriculations le mois dernier, le marché français des véhicules industriels de plus de 5 tonnes a progressé de 9,7 % par rapport à juin 2016. Au premier semestre, il a augmenté de 6,4 %, à 26 163 unités.

Par ailleurs, le marché du véhicule d’occasion est estimé à 519 070 voitures particulières en juin, en hausse de 2,6 %, et à 2 910 909 unités sur six mois, en hausse de 1,5 %.

Les marques françaises ont vu leurs ventes de voitures neuves baisser de 0,6 % le mois dernier, à 131 156 unités (- 2,1 % pour Citroën, à 21 968 unités, - 36 % pour DS, à 2 300 unités, + 13,3 % pour Peugeot, à 40 999 unités, - 7,3 % pour Renault, à 52 963 unités, et + 3,1 % pour Dacia, à 12 908 unités). Les marques étrangères ont enregistré une hausse de 4,6 % de leurs volumes, à 99 784 unités. Le groupe Volkswagen a progressé de 0,7 %, à 25 268 unités, FCA de 6,8 %, à 9 962 unités, le groupe BMW de 1,6 %, à 9 337 unités, le groupe Ford de 6,3 %, à 9 275 unités, le groupe Toyota de 9,7 %, à 8 614 unités, Daimler de 22,5 %, à 8 023 unités, Nissan de 4 %, à 7 972 unités, Hyundai de 1,5 %, à 6 433 unités, et Volvo Cars de 3,3 %, à 1 491 unités, tandis que GM a reculé de 4,5 %, à 6 877 unités.

Sur le premier semestre de 2017, les ventes de voitures des constructeurs français ont progressé de 1,8 %, à 619 245 unités (+ 2,1 % pour Citroën, à 114 502 unités, - 34,4 % pour DS, à 11 159 unités, + 6,1 % pour Peugeot, à 198 439 unités, + 0,4 % pour Renault, à 230 093 unités, et + 0,4 % pour Dacia, à 64 327 unités), et celles des groupes étrangers de 4,5 %, à 516 036 unités (- 0,7 % pour Volkswagen, + 16,1 % pour Toyota, + 8,5 % pour le groupe Ford, + 11,8 % pour FCA, - 1,8 % pour BMW, + 3,5 % pour GM, + 0,9 % pour Nissan, + 7,7 % pour Daimler, + 7,1 % pour le groupe Hyundai et + 4,5 % pour Volvo Cars).

Les constructeurs d’automobiles français ont révisé à la hausse leur prévision de croissance du marché des voitures particulières neuves pour l’année 2017 dans l’Hexagone, l’évaluant maintenant entre 3 % et 4 %. La précédente estimation du CCFA pour 2017 était entre 1 % et 2 % de croissance. « Nous imaginons que la croissance va continuer sur cette année [...] ça donnerait un marché français qui repasserait clairement la barre des deux millions » de voitures particulières neuves immatriculées, a souligné le président du CCFA Christian Peugeot, lors d’une conférence de presse.

En 2016, les immatriculations françaises avaient dépassé de justesse ce seuil symbolique, atteignant 2,015 millions d’unités, en hausse de 5,1 % par rapport à l’année précédente. Pour 2017, « on a une tendance générale qui est bonne », s’est réjoui M. Peugeot, en évoquant « une certaine confiance des ménages » et « une certaine reprise économique ».

« La bonne nouvelle, c’est que le marché est bon, pour la quatrième ou cinquième année de suite, ce qui est assez rare pour être noté », a insisté pour sa part le directeur commercial de Renault, Philippe Buros, lors de la même conférence. M. Buros a pointé deux tendances : le dynamisme des ventes de véhicules utilitaires légers et lourds (respectivement + 6,3 % et + 6,4 % sur six mois), un signe de reprise économique, et la remontée des particuliers dans la répartition des ventes depuis la période de l’élection présidentielle. « En France, il y a un phénomène psychologique, à chaque fois qu’il y a une année d’élection, le marché est calme au premier trimestre. Le fait qu’il bouge un peu sur mai et juin, c’est plutôt bon », a-t-il assuré.

Sur six mois, les immatriculations de véhicules diesel sont restées majoritaires d’un souffle, convainquant 47,92 % des acheteurs, contre 47,37 % ayant opté pour des voitures à essence. Pendant toute l’année 2016, des moteurs au gazole équipaient 52,12 % des voitures neuves mises sur les routes françaises. « Il y a encore de la place en France pour le diesel », a résumé M. Buros.

La chute est toutefois nette pour cette motorisation qui représentait encore 73 % des ventes en 2012. Et pour la seconde année consécutive, sa part dans le parc roulant a diminué, selon le CCFA. Au 1er janvier 2017, 61,6 % des voitures particulières françaises roulaient au gazole, contre 62,2 % un an plus tôt et un plus haut de 62,4 % le 1er janvier 2015. En volume en revanche, le nombre de voitures diesel a continué à croître, à 19,94 millions d’unités début 2017 contre 19,9 le 1er janvier 2016.

Pour M. Peugeot, il faudra « une dizaine d’années pour que le parc à essence redevienne plus important que le parc diesel » si la tendance à la baisse de ce dernier se poursuit.

Début 2017, la France comptait 39,11 millions de véhicules (hors motos), dont 32,39 millions de voitures particulières (+ 1,2 %), d’après le CCFA. L’âge moyen de ces dernières atteint désormais 8,9 ans, contre 8,7 début 2016. Les utilitaires légers représentaient 6,1 millions de véhicules, les véhicules industriels 537 000 unités et les autocars ou autobus, 91 000.

Par ailleurs, les voitures particulières électriques, malgré de fortes incitations fiscales, ont fait du surplace au premier semestre : elles représentaient 1,19 % du marché neuf, contre 1,12 % lors de la même période de 2016.

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12 juillet 2017 3 12 /07 /juillet /2017 05:31
Un nouveau dieselgate avec Fiat et Suzuki ?

La Hollande est dit-on l’autre pays du fromage mais les mêmes Pays-Bas s’annoncent aussi comme l’autre occasion de parler du « dieselgate ». Un concept innové par le groupe Volkswagen il y a deux ans et qui consiste à faire usage dans ses moteurs diesels d’un logiciel truqueur rendant les mécaniques en question plus vertueuses qu’elles ne sont au regard des émissions polluantes. Une démarche à présent suspectée par les Bataves chez Suzuki et le groupe Fiat Chrysler.

C’est le genre de suspicion qui a de quoi faire trembler un constructeur. Rien que pour Volkswagen, on rappellera que son affaire lui a coûté 23 milliards de dollars aux États-Unis, en particulier pour indemniser 600 000 automobilistes et réparer les dégâts causés à l'environnement. Aux Pays-Bas, l'Office national pour la circulation routière (RDW) a contrôlé 16 types de véhicules dont les systèmes de contrôle d'émission avaient montré de possibles anomalies. De nouveaux tests ont permis de conclure que sur 14 voitures, "le fonctionnement réduit du système de contrôle d'émission était autorisé pour protéger le moteur".

Il en manque donc deux et ces véhicules sont le Suzuki Vitara et le Jeep Grand Cherokee. Ces deux-là « ont des émissions d'oxyde d'azote (NOx) plus élevées que ce qui pourrait être justifié » selon l’autorité néerlandaise. La justice a été saisie et elle devra déterminer si un fait punissable a été commis.

On rappellera qu’en France, trois constructeurs sont visés par des enquêtes similaires ; les français Renault et PSA (Peugeot, Citroën et DS) ainsi que le groupe américano-italien Fiat Chrysler.

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