VOIR CI DESSOUS LE TRACT QUI SERA AFFICHE DANS LES PANNEAUX SYNDICAUX ET QUI SERA RELAYE AUPRÈS DU GSEA POUR LA PROCHAINE REUNION.
Bilan de la 2ème réunion de négociations salariales du 14 février
Budget global 2,4%
Ouvriers Employés
TAM
AG
1,5% mini 27 €
1% (Tam hors PVG)
AI
0,9%
1,49% (2% pour Tam percevant la PVG mais pas l’AG)
Prime de pouvoir d’achat (Prime Macron, gilet jaune)
Confirmation de sa mise en place. Elle ne remplace pas les augmentations de rémunération ou les autres primes, mais vient en complément. (Intéressement, supplément, etc.).
Son montant est modulable selon des critères de rémunération ; classification, durée de travail…
Proposition direction :
Salariés en CDI et CDD avec rému brute 2018 < 3 SMIC
Attribution équitable en faveur des intérimaires
Montant proportionnel à la présence effective en 2018 pour les salariés en congé sénior.
26970 Ouvriers, 8620 TAM, 3990 Cadres sont éligibles <3 SMIC
Une solution sera à mettre en œuvre en faveur des salariés au-delà de 3 SMIC.
3ème réunion de négociation le 25 février.
Avis du SPI/GSEA
Le budget de 2, 4% n’est pas acceptable en l’état eu égard aux résultats consécutifs aux efforts durables de tous les salariés.
Le montant de la prime de pouvoir d’achat doit être dévoilé au plus vite.
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FCA Italie et le Groupe PSA (Paris:UG) ont signé un accord portant sur la prolongation jusqu'en 2023 de leur fructueuse coopération en matière de véhicules utilitaires légers (VUL) entamée il y a 40 ans.
Ce nouvel accord prévoit notamment la poursuite de la production par la co-entreprise des gros fourgons Fiat Ducato, Peugeot Boxer et Citroën Jumper ainsi que la production de versions complémentaires pour couvrir les besoins des marques Opel et Vauxhal.
Pour accompagner l'augmentation attendue de la demande, FCA et Groupe PSA ont décidé d'accroître les capacités de production du site de Sevel dès 2019, avec le renfort éventuel d'équipes supplémentaires.
L'accord envisage également l'utilisation à moyen terme d'une capacité de production complémentaire du Groupe PSA pour l'assemblage de certaines versions des gros fourgons pour les marques Peugeot, Citroën, Opel et Vauxhall.
Le site de Sevel, inauguré en 1981 à Val di Sangro (Atessa, Italie), emploie 6 200 collaborateurs et occupe une surface de 1,2 million de mètres carrés. C'est l'usine de production de VUL la plus grande et la plus flexible en Europe, capable de produire un large éventail de configurations. Sevel est aussi l'une des usines de VUL les plus efficientes au monde par son niveau de spécialisation, de performance opérationnelle et d'organisation.
Le site accueille enfin une " Academy ", centre d'excellence où les employés peuvent se former et renforcer leurs compétences, mais aussi effectuer des simulations et créer des solutions innovantes.
A propos de FCA
Fiat Chrysler Automobiles (FCA) conçoit, fabrique et vend des véhicules, et des pièces et services, des composants et des systèmes de production dans le monde entier au travers de 159 sites de production, 87 centres de R&D et des concessionnaires et distributeurs dans plus de 140 pays. Son portefeuille de marques comprend Abarth, Alfa Romeo, Chrysler, Dodge, Fiat, Fiat Professional, Jeep, Lancia, Ram, Maserati et Mopar, la marque de pièces et services. Les activités du Groupe comprennent également les systèmes de production, les composants, le fer et les pièces moulées. De plus, les services de financement, de crédit-bail et de location aux particuliers et aux concessionnaires liés aux activités automobiles du Groupe sont fournis par l'intermédiaire de filiales ou de partenaires financiers (sociétés captives, sociétés affiliées, coentreprises avec des banques et/ou institutions financières de premier plan, et fournisseurs spécialisés). FCA est cotée à la Bourse de New York sous le symbole "FCAU" et au Mercato Telematico Azionario sous le symbole "FCA".
A propos de Groupe PSA
Le Groupe PSAconçoit des expériences automobiles uniques et apporte des solutions de mobilité innovantes pour répondre aux attentes de tous. Le Groupe rassemble cinq marques automobiles - Peugeot, Citroën, DS, Opel et Vauxhall - et propose une offre diversifiée de services connectés et de mobilité portés par la marque Free2Move. Son plan stratégique 'PushtoPass' constitue une première étape vers sa vision : " Etre un constructeur automobile mondial à la pointe de l'efficience et un fournisseur de services de mobilité de référence pour une relation clients à vie ". Il est l'un des pionniers de la voiture autonome et du véhicule connecté. Ses activités s'étendent également au financement automobile avec Banque PSA Finance et à l'équipement automobile avec Faurecia.
Poissy. La Peugeot 208 et la DS3 sont produites actuellement à l’usine de Poissy.
Pour rafler le marché, le directeur du site peut compter sur les collectivités, prêtes à financer une partie des investissements nécessaires. La décision devrait être prise dans les prochaines semaines.
La vallée de la Seine capitale de la voiture électrique ? Après le site Renault de Flins-sur-Seine qui produitla Zoé depuis 2012, l’usine Peugeot de Poissy pourrait elle aussi accueillir la production d’un véhicule électrique dans les prochains mois.
L’usine s’est en tout cas portée candidate auprès de sa direction pour remporter, en interne, ce marché très convoité qui garantit son implantation locale sur le long terme.
On ne sait rien de cette nouvelle voiture connue sous le code P2QO ou POY selon les sources. S’agira-t-il d’un prototype 100 % électrique ou d’une déclinaison d’un modèle déjà existant ? Un secret absolu entoure le projet.Selon des sites spécialisés, ce pourrait être l’Opel Mokka X (PSA a récemment racheté Opel). « Nous attendons la décision du siège », indique sobrement un porte-parole de l’usine de Poissy qui fabrique déjà la 208, la DS3 et bientôt leDS3 crossback.
L’usine a besoin de près de 100 millions d’euros d’investissement
Si cette attribution semble en bonne voie, c’est encore à Carlos Tavares, le grand patron de PSA, de trancher. Ce qu’il devrait faire dans les prochaines semaines. Et pour le convaincre, rien n’est trop beau. Pas même les promesses d’engagement financier des collectivités locales.
Pour pouvoir accueillir ce véhicule, l’usine a besoin d’un investissement de presque 100 M€. En novembre dernier, le directeur du site de Poissy, Frédéric Przybylski, se tourne naturellement vers le maire Karl Olive (LR) qui promet de l’aider. « Je sais ce que la ville doit à Peugeot et nous devons les épauler », indique ce dernier.
Un rendez-vous est ainsi organisé avec Valérie Pécresse, la présidente (LR) de la région Ile-de-France. Mais l’entretien, mené avec deux collaborateurs de la présidente, se déroule mal. Karl Olive décroche alors son téléphone et en parle à Pierre Bédier, le président (LR) du conseil départemental. Malin, l’élu de Mantes-la-Jolie saisit l’occasion pour doubler sa rivale sur le terrain économique. Dans un courrier du 19 décembre, il s’engage ainsi à verser 10 M€ pour aménager la nouvelle plate-forme de production à l’usine, « afin de garantir la pérennité d’au moins 2 000 emplois sur Poissy jusqu’en 2025 ».
Valérie Pécresse réagit à son tour. Et dans un courrier expédié ce mardi à Carlos Tavarès, elle se dit prête « à mobiliser des financements » sur ce projet —dans son entourage, on parle de « plusieurs millions d’euros ». Avec pour condition, le maintien de l’activité et de l’emploi sur le site, qui compte près de 3000 salariés, « dans les cinq années à venir ». Au siège de PSA, on se frotte les mains de cette guéguerre : « Toutes les subventions publiques sont les bienvenues », sourit un porte-parole.
LA RÉGION INVESTIT POUR «LES VÉHICULES DE DEMAIN»
Récemment, Valérie Pécresse a profité de la cérémonie des vœux de la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise, qui abrite deux géants français de la filière, l’usine Renault à Flins-sur-Seine et PSA à Poissy, pour affirmer le soutien de la région au secteur automobile. « Il faut faire le maximum pour inventer les véhicules de demain. La région pourrait participer à hauteur de 100 M€ », a-t-elle déclaré à cette occasion.
Une première enveloppe de 5,5 M€ a été votée en fin d’année dernière pour réaliser des aménagements sur des autoroutes et créerune zone test le long de la A 13, pour favoriser le développement des véhicules autonomes. Les constructeurs comme Peugeot-Citroën et Renault pourraient utiliser cet axe pour tester, dans les conditions du réel, leurs prototypes.
La marque du groupe PSA présentera le 5 mars au salon de Genève un concept inédit qui pourrait préfigurer une future Citroën C1 électrique.
Si tous les yeux sont aujourd’hui rivés surPeugeotet sa 208 électrique, Citroën nous prépare également une belle surprise. Selon lesrumeurs, le constructeur aux chevrons devrait révéler courant février une nouvelle citadine électrique avant une présentation au public prévue début mars à Genève.
Révélée parAutomotive News Europe, l’information évoque unconcept« révolutionnaire » qui présenterait la vision du constructeur en matière de mobilité urbaine. Un concept « zéro émission » qui annoncerait une future C1 électrique destinée à remplacer la vieillissante Citroën C-Zero, un modèle basé sur la Mitsubishi i-MiEV. Cette petite citadine électrique pourrait être lancée lors du remplacement de l’actuelle C1, prévue pour 2021. Un modèle qui devrait, en toute logique, avoir son équivalent chez Peugeot avec la 108…
Frédéric Puech a pris la direction du site PSA d’Hordain (Sevelnord, 3 200 salariés) mi-janvier. Principale mission : accompagner la reconfiguration et la transformation de cette usine d’assemblage de véhicules utilitaires légers et de transport de personnes, et l’arrivée d’Opel Vauxhall sur ses chaînes.
Frédéric Puech, 51 ans, est originaire d’Albi. Diplômé des Arts et Métiers, il a effectué toute sa carrière chez PSA. Il a rejoint le site d’Hordain après avoir passé ces trois dernières années à la tête du pôle industriel ibérique de PSA. Il succède à Patrice Le Guyader, aux manettes depuis juillet 2014, appelé à d’autres fonctions au sein du groupe, en Chine.
« Mon intégration se passe bien. Je partage avec les équipes l’avancement duprojet de transformation, projet essentiel pour l’avenir du site. »
Où en est ce projet ?
« On a ramené l’activité, sans altérer la capacité en termes de volume du site, sur des surfaces plus compactes et donc contributrices d’une meilleure performance. L’objectif de ce projet est de contribuer à la pérennité du site, de part une meilleure efficience industrielle, qui fait que l’on continue d’être performant d’un point de vue qualité. »
La qualité est bien sûr essentielle…
« Je suis convaincu que l’avenir du site passe par un renforcement de cette préoccupation de qualité, qui est celle de nos clients. On se doit, ainsi que notre partenaire Toyota, de leur amener les réponsesad hocsi on veut continuer à progresser sur nos ventes. Avec le K-Zéro (décliné en versions Peugeot, Citroën, Toyota, et bientôt Opel/Vauxhall, ndlr), on a battu en termes de volume un record de production l’année dernière.A minima, depuis 2013, tous les ans on fabrique plus de voitures que l’année précédente. En matière de véhicules utilitaires légers, le groupe se doit d’aller chercher ces niveaux de vente pour confirmer et conforter sa place de leader européen sur le segment. Ceci s’accompagne d’une montée en compétences de nos équipes, qui sont en train d’être formées. »
Tous les salariés sont-ils concernés par ce plan de formation ?
« Ça concerne essentiellement le montage. Les postes de travail ont évolué avec du matériel qui peut être nouveau, avec le déploiement du full kitting(1) sur l’ensemble de la ligne. »
Les premiers essais ont-ils démarré ?
« On a commencé depuis le début de l’année à faire les premiers essais sur la nouvelle ligne de montage : pour fiabiliser les installations, amener les corrections nécessaires. Notre ambition est de démarrer avec une équipe fin février, début mars et d’être, à l’été, en trois équipes dans le nouvel atelier. Au retour de l’été, 100 % de nos modèles seront fabriqués sur la nouvelle ligne. On est à un peu plus de 600 véhicules par jour, on restera sur le même niveau. »
1. Full kitting : méthode permettant de trier et d’acheminer automatiquement les pièces détachées vers la ligne de production.
Le marché mondial des ventes automobiles en 2018 est en très faible progression. Le trio de tête est constitué des mêmes constructeurs que l'an passé, le groupe Volkswagen, Toyota et l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi.
Les ventes totales d'automobiles en 2018 sur le marché mondial représente 95,6 millions d'unités. C'est une progression de 0,2% par rapport à 2017.
Un trio de tête compact, Volkswagen leader
Alors que l'on se dirigeait vers une première historique de ventes avec le cap des 100 millions de véhicules vendus, la seconde moitié de l'année 2018 a eu un impact sur cette performance. Il y a eu deux phénomènes, les nouvelles normes de pollution en Europe WLTP qui ont dévalué de 10,6% les ventes, alors qu'en Chine on faisait face à une crise d'importance.
La lutte pour la première place mondiale a impliqué 3 groupes automobiles, Volkswagen Groupe, Toyota Groupe et l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi. Ces 3 groupes représentent près de 21 marques qui ont totalisé près d'un tiers des ventes mondiales.
A la première place on retrouve donc le groupe Volkswagen (Volkswagen, Audi, Škoda, Seat, Bugatti, Lamborghini, Bentley, Porsche et Cupra) qui a écoulé 10,8 millions de véhicules en hausse de 2,2% et une part de marché mondiale de 11,4%.
Toyota Motor Corparation apparaît donc sur la seconde marche du podium (Toyota, Daihatsu, Lexus et Scion) avec 10,5 millions d'unités en hausse également de 2,2%. Enfin la troisième marche du podium revient à l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi et ses 10,4 millions de véhicules et en hausse de 1,3%.
En 4e place le groupe General Motors perd 2% avec 8,79 millions, en 5e position les coréens Hyundai Groupe (Hyundai, Kia et Genesis) font la très bonne progression de 3,2% avec 7,5 millions d'exemplaires vendus. La Ford Motor Company accuse un net recul de 8,9% avec 5,73 millions de véhicules distribués. Honda et le groupe FCA (Fiat Chrysler Automobiles) se suivent, le groupe PSA n'est pas loin derrière en 9e position mondiale et 4,13 millions de véhicules (Peugeot, Citroën, DS, Opel et Vauxhall).
MAUVAIS RESULTATEn janvier, 155.087 véhicules ont été mis sur les routes…
Une employée du groupe PSA Peugeot Citroën dans une usine de Mulhouse le 29 avril 2015
Une baisse des immatriculations neuves ininterrompue depuis le mois de septembre. Mauvais résultat pour le marchéautomobilefrançais qui a démarré l’année 2019 par une baisse de 1,1 % en janvier.
Les constructeurs français ont fait globalement moins bien que le marché. PSA (Peugeot, Citroën, DS, Opel) a vu ses livraisons baisser de 1,6 % en janvier, tandis que celles du groupe Renault (avec Dacia, Alpine) ont reculé de 3 %, selon des données duComité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), publiées ce vendredi.
Un effet « non négligeable » des « gilets jaunes »
En janvier, 155.087 véhicules ont été mis sur les routes. « C’est le premier mois, il faut être prudent » dans l’interprétation des chiffres, a expliqué François Roudier, le directeur de la communication du CCFA, qui table sur un marché « stable » à un haut niveau pour cette année. Il évoque un effet négatif du mouvement de contestationdes « gilets jaunes ». « Il y a encore des soucis liés aux gilets jaunes. Cela bloque l’activité des concessions et le transport des véhicules… C’est non négligeable », a-t-il souligné.
Mais, selon François Roudier, « on n’est pas sur un gros décrochage de l’activité économique ». Il souligne également l’impact du renouvellement attendu cette année des deux modèles les plus vendus du marché français, les citadines Renault Clio et Peugeot 208, qui peuvent créer « un effet d’attente chez les clients ».Le marché automobile français a progressé de 3 % sur 2018, avec 2,17 millions de véhicules immatriculés.
PSA toujours leader du marché français
Cependant, il est en baisse continue depuis le mois de septembre et avait fini l’année par un recul à deux chiffres (-14,5 %) au mois de décembre. Cette baisse constatée depuis cinq mois était d’abord liée à l’entrée en vigueur en Europe d’une nouvelle norme d’homologation des véhicules WLTP en septembre. Elle a contraint des constructeurs à ne plus vendre certaines références de motorisations diesel ne respectant pas les nouvelles exigences en matière de rejets polluants.
L’effet « gilets jaunes » s’est fait ensuite fortement sentir en décembre.Le groupe PSAest resté numéro Un du marché français en janvier, avec une part de marché de 35,4 %. Citroën, porté par ses modèles C3 et C3 Aircross, a vu ses immatriculations progresser de 1,6 %, tandis que les livraisons de Peugeot se sont essoufflées (-5,9 %).
Volkswagen, premier importateur étranger
La filiale allemande Opel a brillé (+7,6 %) mais pas autant que la jeune marque DS (+21 %) qui continue de profiter du succès de son nouveau SUV DS7 Crossback, dans des volumes toutefois plus restreints. Le groupeRenaults’est maintenu en deuxième position (23,2 % de part de marché), avec des immatriculations qui ont reculé davantage chez Dacia (-5,4 %) que pour la marque au losange (-3,3 %).
Parmi les constructeurs étrangers,Volkswagen est resté de loin le premier importateur sur le marché français, avec 11,4 % du marché. Les livraisons du groupe ont progressé de 6,7 % sur le premier mois de l’année. Le géant allemand a été tiré par la marque Volkswagen (17,2 %) et dans une moindre mesure par Skoda (+1,5 %). Porsche (23,3 %), Audi (-6,9 %) et Seat (-5,3 %) ont au contraire freiné la performance globale.
Les sept voitures candidates ont été soumises au vote du public sur internet sur sixminisites dédiés à cette élection en six langues et sur une page Facebook.
Les internautes étaient appelés à voter en se basant uniquement sur des critères de design, ainsi sur l'émotion dégagée par l'automobile.
Le titre« Plus Belle Voiture de l'Année 2018 »vient récompenserla berline radicale de Peugeot. La Peugeot 508 a su conquérir le public avec son style racé et audacieux. Ses principaux atouts de séduction : son esprit musclé et acéré, sa silhouette basse et dynamique, sa face avant agressive, ses lignes sculptées et sa signature lumineuse.
Avec 34,23 % des votes, la Peugeot 508 devance la Mercedes Class A (28,78%), le Range Rover Evoque (18,68%) et laDS3 Crossback (18,31%).
« La Plus Belle Voiture de l'Année »est élue par le grand public dans le cadre d'un jeu-concours permettant de remporter, après tirage au sort, une voiture d'une valeur de 30.000 euros (prixpublic) offerte par le constructeur vainqueur.
Le palmarès de la plus belle voiture de l'année depuis la création de l'élection:
A force de voir les SUV remplacer les monospaces, on oublierait presque que les familles ont une alternative : l'authentique break. Chez Peugeot, la nouvelle 508 SW vient justement d'arriver et peut donc affronter son meilleur ennemi, le célèbre 3008. Break ou SUV, réponse dans cet essai comparatif.
Voitures à l'essai : Peugeot 3008 vs Peugeot 508 SW
PAGE 1Essai Peugeot 508 SW vs Peugeot 3008 : break ou SUV, lequel choisir ?
Lancé fin 2016, lePeugeot 3008est un succès qui doit même impressionner ses géniteurs : depuis 2017 et sa première année pleine de commercialisation, il estle troisième modèle le plus venduen France, tous segments confondus. Sa finition la plus demandée est pourtant la GT Line qui démarre à 33 950 € minimum, soit deux fois le prix d’une Citroën C3 et trois fois celui d’une Dacia Sandero, situées derrière le 3008 en nombre d’immatriculations !
A ce stade, ce n’est plus un succès mais un carton… qui a dès lors son revers. Vous aimiez le 3008 ? Nous aussi. Mais à force d’en croiser à tous les coins de rue et malgré votre attirance pour la marque Peugeot, voilà que vous commencez à vous lasser… Pas de panique : maintenant que la berline 508 est déclinée en carrosserie break SW, elle devient tout autant compatible avec un usage familial.
C’est du moins ce que promettent les dimensions de lanouvelle 508 SW: 530 l de contenance de coffre en cinq places et 1 780 l en deux places (520 l et 1 480 l pour le 3008), et un volume de rangements annoncé identique dans l’habitacle (32 l pour les deux). Il faut dire que la 508 SW s’étire sur 33 cm de plus que le 3008, dont 11 cm sur l’empattement.
“33 cm plus longue que le 3008, la 508 SW est aussi 20 cm plus basse. De quoi bien différencier les espaces intérieurs...“
Reste un pavillon posé vraiment, vraiment plus bas puisqu’à 1,42 m sous la toise, l’élégante 508 SW se balade 20 cm plus bas que le SUV 3008. De quoi limiter la sensation d’espace à bord et celle de « dominer » la route mais aussi, comme nous le verrons ensuite, la consommation à l’usage et notamment sur autoroute. Un bon point car à l’achat,le break s’affiche plus cher que le SUV...
Dans nos versions 1.5 BlueHDi 130 EAT8 Allure d’essai,le 3008 est ainsi facturé 36 150 € et la 508 SW, 38 200 €. La dotation de série diffère seulement sur des détails (jantes 18’’ au lieu de 17’’ et siège passager repliable sur le 3008, écran 10’’ au lieu de 8’’ et deux prises USB à l’arrière sur la 508 SW), et se montre d’ailleurs généreuse à cet étage Allure : navigation GPS, comptabilités Android Auto/Apple CarPlay, radars de stationnement AV/AR avec caméra de recul, clef mains-libres, surveillance d’angles morts et de franchissement de ligne, tous viennent de série.
Dans les deux cas, il faut piocher dans les suppléments pour obtenir un régulateur de vitesse adaptatif, les caméras 360°, le hayon motorisé mains-libres, ou les feux 100% LED qui modifient subtilement les faces avant : diodes « discontinues » et clignotants à défilement sur le 3008, fameuxcrocs lumineux(qui regroupent les feux de jour et les clignotants) sur la 508 SW. Voyons maintenant si les écarts prennent du relief, à l’épreuve de la conduite…
Peugeot 508 sans feux 100% LEDPeugeot 3008 avec feux 100% LED
Au cours de la soirée prestigieuse du Festival automobile international, organisée aux Invalides, la berline succède au palmarès à l'Alpine A110.
Décidément, les voitures françaises savent faire preuve de chic. Pour la deuxième année consécutive – et la troisième en cinq ans –, c'est en effet un modèle tricolore qui est plébiscité et remporte l'élection de la plus belle voiture de l'année :la Peugeot 508. L'élégante berline familiale remporte ainsi le seul scrutin où les internautes sont invités à faire leur choix en prenant en compte des critères liés à l'esthétisme et au design. Elle succède àl'Alpine A110 (élue en 2018),à l'Alfa Romeo Giulia (2017)età la Renault Talisman (2016).
Devant la Classe A, la Range Rover Evoque et la DS3 Crossback
La pépite de la marque au lion a fière allure avec sa silhouette basse et dynamique, sa face avant agressive et sa nouvelle signature lumineuse. Le vote en finale a été particulièrement serré : la Peugeot 508 s'impose avec 34,23 % des votes. Elle devance la Mercedes Class A (28,78 %), la nouvelle Range Rover Evoque (18,68 %) et l'autre représentante tricolore de cette finale,la DS3 Crossback (18,31 %).