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15 mai 2018 2 15 /05 /mai /2018 10:34

Le groupe français PSA utilisera à partir de 2022 une boîte double embrayage intégrant un moteur électrique fournie par l'équipementier Punch Powertrain.

La Peugeot 508 pourrait bénéficier de l'hybridation légère intégrée à une boîte double embrayage que PSA va introduire sur le marché en 2022.

La Peugeot 508 pourrait bénéficier de l'hybridation légère intégrée à une boîte double embrayage que PSA va introduire sur le marché en 2022.

PSA, le groupe français qui assemble les Peugeot, Citroën, DS et Opel, a récemment annoncé vouloir électrifier la totalité de sa gamme d'ici à 2025. Il ne faut pas en déduire que toutes les voitures allaient devenir 100 % électrique d'ici là, mais plutôt qu'à côté de quelques modèles zéro émission, le reste de la gamme, encore largement majoritaire, utilisant un moteur thermique embarquerait au minimum un petit moteur électrique.

Machine électrique de 48V

C'est ce minimum que PSA révèle en annonçant avoir signé un accord avec l'équipementier sino-belge Punch Powertrain pour la fourniture de boîtes double embrayage intégrant un moteur électrique de 48V. Outre la possibilité de récupérer la plus grande partie de l'énergie cinétique de la voiture en décélération au profit de la réduction de la consommation, cette machine électrique devrait aussi permettre d'épauler le moteur thermique à l'accélération pour de meilleures reprises, et même autoriser des manœuvres zéro émission à basse vitesse puisqu'elle peut entraîner les roues sans avoir à faire tourner le moteur thermique qui peut alors être débrayé. À titre d'exemple, la Peugeot 508, dont le lancement est prévu à la rentrée et dont une version hybride rechargeable est attendue pour 2020, devrait aussi pouvoir bénéficier de cette technologie moins coûteuse pour la deuxième partie de sa carrière commerciale.

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15 mai 2018 2 15 /05 /mai /2018 10:05


BONNE NOUVELLE Avec 187 396 immatriculations de voitures particulières en avril 2018, le marché automobile français progresse de 9% par rapport à la même période de l’année dernière. Groupes automobiles français leaders, part des SUV, baisse de vente des diesels... voici cinq informations à retenir des chiffres du Comité des constructeurs Français d’Automobiles (CCFA).

En avril 2018, le marché français de l'automobile affiche une bellle embellie. Comparé à l'année dernière, il enregistre une progression de 9% avec 187 396 immatricullations de voitures particulières. Entre l'intégration des ventes d'Opel au groupe PSA et la confirmation de la baisse des ventes de diesels, voici cinq informations a retenir des chiffres publiés par le Comité des Constructeurs Français Automobiles (CCFA).

Chez PSA Opel contribue à la hausse, Citroën recule et DS décolle 

Le groupe PSA reste numéro un des ventes en avril 2018 avec 60 502 immatriculations. Avec toutes ses marques (Peugeot, Citroën, DS et Opel) le groupe représente 32,3% des ventes sur la période. Opel, dont le rachat a été finalisé en août 2017 totalise 10,4% de ces ventes (6 305 unités). Peugeot reste le moteur du groupe avec 34 576 unités soit 57,15% des ventes du groupe.

Si Citroën demeure seconde marque en volume avec 16 991 immatriculation, ses ventes reculent de -4,9% par rapport à avril 2017. Au contraire DS enregistre une progression de 68,6% avec 2 630 ventes de voitures particulières neuves.

Dans le groupe Renault, Dacia en forte progression

Le groupe Renault avec 47 956 voiture particulières vendues en avril 2018 s'attribue 25,6% du marché français sur le mois. La marque Renault fait toujours office de navrire amiral avec 33 726 immatriculations soit 70,32% des ventes du groupe. Dacia afiche la plus forte progression du groupe avec +31,3% par rapport à l'année dernière.

A noter que la marque sportive Alpine a enregistré 114 immatriculations sur le mois. Les 1 955 préréservations de la nouvelle version de son modèle mytique, la Alpine A110 se sont écoulées en à peine cinq jours en juin 2017. Un an après avoir dévoilé le modèle au salon de Genève, la marque a également présenté les deux premières versions de séries au salon automobile suisse.

Un Top 10 des modèles 100% Français entre janvier et avril

Sur la période janvier-avril 2018, les dix modèles de véhicules les plus vendus sont fabriqués par les deux groupes automibles français. La première place du classement est détenue par le groupe Renault avec la Renault Clio IV (42 387 unités / 5,7% des ventes). Il est également représenté par la Renault Captur (6e / 23 744 unités /3,2%), la Dacia Sandero (7e / 23 230 unités / 3,1%), la Renault Twingo III (9e / 16 880 unbités / 2,3%) et la Renault Mégane IV (10e / 15 246 unités / 2,0%).

Le reste du Top 10 est complété par PSA avec la Peugeot 208 (2e / 37 262 unités / 5,0%), la Peugeot 3008 II (3e / 30 014 unités / 4,0%), la Citroën C3 III (4e / 26 616 / 3,6%), la Peugeot 2008 (5e / 24 096 unités / 3,2%) et la Peugeot 308 II (8e / 21 989 unités / 3,0%). A la 13e place, la Volkswagen Polo VI (12 285 unités / 1,7%) fait figure de premier véhicule étranger du classement.

les trois suv les plus vendus pèsent 10% du marché

Tois modèles de SUV sont présents dans le Top 10 (Peugeot 3008 II, Peugeot 2008, Renault Captur), soit 77 854 immatriculations entre janvier en avril 2018. Ces trois 4x4 urbains comptabilisent à eux seuls 10,4% des ventes de voitures particulières depuis le début de l'année.

La part du diesel continue de baisser

La tendance amorcée depuis plusieurs années se confirme, la part de véhicules particulier neufs roulant au diesel continue de diminuer. Sur les quatre premiers mois de 2018 elle représente 40% des ventes de véhicules particuliers contre 47% sur l’ensemble de 2017 et 52% sur 2016.

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9 mai 2018 3 09 /05 /mai /2018 06:40

 
Depuis près d’un an, des lots complets de pièces automobiles finissaient en vente sur Internet au lieu d’alimenter les lignes de production de Sevelnord. Un habitant d’Escaudain a été interpellé mercredi. Plus de 14 000 € de pièces automobiles ont été retrouvés, cachés, chez sa mère.

Des lots complets de pièces automobiles finissaient sur Internet au lieu d’alimenter les lignes de production de Sevelnord. PHOTO ARCHIVES PIERRE ROUANET
Fin janvier, un internaute contacte la direction de Sevelnord. «  Il leur a expliqué que plusieurs types de pièces qui provenaient de Sevelnord étaient en vente sur Internet  », relate l’une de nos sources. Cela faisait près d’un an que des pièces flambant neuves étaient ainsi revendues sur le site du Boncoin.

En février, Sevelnord dépose plainte.Une enquête est ouverte.

Enjoliveurs, antennes, tapis de sol… Les pièces détachées transitaient par un sous-traitant du Denaisis.

À quel moment les pièces ont-elles été dérobées ? L’enquête n’a pas encore fait la lumière sur les circonstances précises. Toujours est-il que toutes les pièces n’ont pas fini sur la ligne de production. Mais l’homme qui aurait mis les objets en vente sur Internet a pu être interpellé mercredi matin.

Près de 14 000 € de pièces automobiles ont été retrouvés chez la mère du suspect. Durant la garde à vue, l’Escaudinois a reconnu qu’il avait mis le butin en ligne, mais a nié les vols. Il devra donc répondre de ce recel de vols.

En janvier, deux employés de Sevelnord avaient déjà été interpellés, ainsi que deux complices présumés. Ils étaient suspectés d’avoir dérobé d’importantes quantités de pièces automobiles.

 

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3 mai 2018 4 03 /05 /mai /2018 06:01
 
Carlos Tavares, président du groupe PSA, a annoncé que le groupe travaille "très activement" sur la pile à combustible.

C'est en répondant à une question d'un actionnaire, lors de l'assemblée général du Groupe, que Carlos Tavares a révélé les recherches de PSA sur la pile à combustible. Elles devraient aboutir sur "des choses très concrètes dès l'année prochaine".
C'est une surprise, car Carlos Tavares est un critique régulier du passage à l'électrique, qualifiant l'année dernière la marche forcée vers l'électrique d'agitation et de chaos.

Combler les lacunes de l'électrique classique

L'hydrogène ne faisait de plus pas du tout partie des projets annoncés du Groupe.
S'il s'avère donc que PSA travaille bien sur une solution à hydrogène, cela pourrait être dû à la volonté de son patron de prendre en compte les facteurs écologiques sur une plus grande échelle que celle des émissions seules : il dit vouloir comparer "l'empreinte carbone de la production d'hydrogène" avec "l'empreinte carbone de tout ce qui concerne la production d'électricité, la fabrication et le recyclage des batteries et l'extraction des matières premières rares".
Pour Carlos Tavares, la pile à combustible comble certaines lacunes de l'électrique classique, notamment grâce à un temps de "recharge" réduit à seulement 3 minutes.
Louis Gallois, récemment reconduit à la tête du conseil de surveillance de PSA, s'était déjà exprimé par le passé en faveur de l'hydrogène.
Source : autoactu.com

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3 mai 2018 4 03 /05 /mai /2018 05:54

Le groupe PSA se porte particulièrement bien, grâce, notamment, à ses best-seller 208 et 3008 et aux ventes d'Opel, désormais incluses dans le calcul des ventes du groupe tricolore.

Les immatriculations de voitures neuves en France ont progressé de 9% en avril en données brutes par rapport à avril 2017, a annoncé mardi le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). Il s'est immatriculé 187.399 voitures particulières neuves le mois dernier dans l'Hexagone. En mars, le marché avait progressé de 2,2%, donnant une hausse cumulée de 2,9% sur trois mois. Avec les chiffres d'avril, les immatriculations de voitures neuves en France ressortent désormais en hausse de 4,4% sur les quatre premiers mois de l'année.Le marché automobile français a joui l'an dernier d'une croissance de 4,7% à 2,11 millions d'unités, tiré par l'embellie des perspectives économiques et l'engouement pour les nouveaux SUV que proposent désormais presque toutes les marques.

En 2016, la croissance avait atteint 5,1%, après +6,8% en 2015 et auparavant cinq années de stagnation ou de baisse consécutives au contrecoup de la fin des primes à la casse décidées face à la crise de 2008-2009. Le marché devrait connaître en 2018 une nouvelle année de croissance, mais à un rythme moins rapide. L'Observatoire Cetelem de l'automobile attend ainsi une hausse de 3,8% à 2,2 millions des immatriculations de voitures neuves en France sur l'année tandis que le CCFA, plus prudent, anticipe un marché en hausse d'environ 2%.

En avril, les immatriculations du groupe PSA, qui regroupe maintenant les marques Peugeot, Citroën, DS et Opel/Vauxhall, ont bondi de 20,3% tandis que celles du groupe Renault (marques Renault, Dacia et Alpine) ont enregistré une hausse de 11,1%. La marque PSA a été tirée vers le haut par le succès de sa DS, laquelle a pris 68,59% à elle seule avec 2.630 voitures vendues. Mais c’est Peugeot qui reste toujours en tête avec 34.576 immatriculations, soit un gain de 11,96 %. Citroën bascule en revanche, avec une diminution assez nette de l’ordre de – 4,93 %.

En France, la marque Opel a également participé aux bons résultats de PSA, avec 6.305 voitures neuves vendues. Opel avait été vendue par General Motors à PSA en mars 2017 pour un montant de 1,3 milliard d’euros. Dans l’Hexagone, les groupes français représentent toujours une majorité des parts de marchés, puisqu’ils en détiennent 58%.C’est toujours Volkswagen qui reste très présent sur le territoire français avec à lui seul 12,14% des parts de marché sur les 42 % détenus par des groupes étrangers.

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3 mai 2018 4 03 /05 /mai /2018 05:48

Le marché français des voitures neuves a progressé de 9 % en avril

Avec 187 396 immatriculations en avril 2018, le marché français des voitures particulières a progressé de 9 % en données brutes et de 3,6 % à nombre de jours ouvrés comparable (20 jours, contre 19 en avril 2017). Sur les quatre premiers mois de l’année, le marché s’est établi à 744 238 unités, en hausse de 4,4 % à nombre de jours ouvrables identique (84 jours). Le marché des véhicules utilitaires légers a augmenté de 6,9 % en avril, à 38 840 unités (+ 1,6 % à nombre de jours ouvrés comparable), et de 6,3 % sur quatre mois, à 155 607 unités. Avec 4 522 immatriculations le mois dernier, le marché français des véhicules industriels de plus de 5 tonnes a enregistré une hausse de 7,2 % par rapport à avril 2017. Sur quatre mois, il a augmenté de 8,9 %, à 17 871 unités. Les marques françaises ont vu leurs ventes de voitures neuves bondir de 16 % le mois dernier, à 108 465 unités (- 4,9 % pour Citroën, à 16 991 unités ; + 68,6 % pour DS, à 2 630 unités ; + 12 % pour Peugeot, à 34 576 unités, et 6 305 unités pour Opel ; + 4 % pour Renault, à 33 726 unités ; + 31,3 % pour Dacia, à 14 114 unités, et 114 unités pour Alpine). Les marques étrangères ont enregistré une progression modeste de 0,7 %, à 78 931 unités. Le groupe Volkswagen a augmenté de 5,8 %, à 22 756 unités, le groupe FCA de 27,1 %, à 9 037 unités, le groupe Toyota de 27,4 %, à 8 644 unités, Hyundai de 31,2 %, à 7 614 unités, Ford de 8,1 %, à 7 406 unités, le groupe BMW de 0,3 %, à 6 566 unités, Daimler de 2,3 %, à 5 311 unités, tandis que Nissan a reculé de 22,2 %, à 4 676 unités, et le groupe Volvo Cars de 2,9 %, à 1 252 unités. Sur les quatre premiers mois de 2016, les ventes de voitures des constructeurs français ont enregistré une belle hausse de 12,2 %, à 431 595 unités (- 0,6 % pour Citroën, à 72 503 unités ; + 12 % pour DS, à 7 970 unités ; + 10,4 % pour Peugeot, à 137 627 unités, et 24 853 unités pour Opel ; + 0,9 % pour Renault, à 140 415 unités, + 17,4 % pour Dacia, à 48 004 unités, et 145 unités pour Alpine), alors que celles des groupes étrangers ont subi une baisse de 4,7 %, à 312 643 unités (+ 1,2 % pour Volkswagen, à 85 576 unités, + 15 % pour FCA, à 34 299 unités, + 2,4 % pour Toyota, à 34 227 unités, + 0,9 % pour le groupe Ford, à 31 923 unités, + 2,2 % pour BMW, à 27 611 unités, + 22,6 % pour le groupe Hyundai, à 27 372 unités, - 15,3 % pour Nissan, à 22 439 unités, + 3,7 % pour Daimler, à 20 850 unités, et + 5,3 % pour Volvo Cars, à 5 831 unités). Le marché du véhicule d’occasion est estimé à 480 461 voitures particulières pour avril 2018, en hausse de 3,3 %, et à 1 882 782 unités au cumul, en baisse de 1,5 %. (COMMUNIQUE DE PRESSE CCFA 2/5/18)

 Les prix des carburants à la pompe ont encore augmenté la semaine dernière

Les prix des carburants vendus dans les stations-services françaises ont encore augmenté la semaine dernière. Le litre de gazole valait en moyenne 1,4180 euro vendredi, en hausse de 1,21 centime, selon des données publiées par le ministère de la Transition écologique et solidaire le 30 avril. Le litre d'essence sans plomb 95 (SP 95) s'affichait à 1,5005 euro, en progression de 0,96 centime. Celui du sans plomb contenant jusqu'à 10 % d'éthanol (SP95-E10) valait 1,4809 euro, en hausse de 0,94 centime. Enfin, le tarif moyen du sans plomb 98 (SP98) a atteint 1,5653 euro le litre (+ 0,99 centime). (AFP 30/4/18)

DS Automobiles arrêtera le « thermique pur » à partir de 2025

À l’occasion du E-Prix de Formule E de Paris, DS Automobiles a annoncé l’arrêt des mécaniques 100 % thermiques à partir de 2025. Tous les modèles de la marque seront, à compter de cette échéance, uniquement électriques ou hybrides. « La Formule E est au cœur de la stratégie de la marque », a expliqué Xavier Mestelan Pinon, directeur de DS Performance. « Cette discipline a le mérite de susciter l’intérêt du public pour les technologies électriques mais aussi de servir de laboratoire d’expériences. Toutes les technologies que nous emmagasinons seront utiles pour nos futurs modèles de série », a-t-il ajouté. DS Automobiles avait déjà annoncé l'électrification de tous ses modèles à l'horizon 2020. À commencer par le DS7 Crossback, dont la déclinaison hybride avec 50 km d'autonomie électrique sera commercialisée courant 2019. Puis par le DS3 Crossback 100 % électrique, dévoilé à l’occasion du prochain Mondial de Paris. Pour son DS7 Crossback, le constructeur vise entre 20 et 35 % de ventes en hybride. Un tournant radical préfiguré par le concept électrique DS X E-Tense, dévoilé également lors de le l’E-prix de Paris. « La marque souhaite s’imposer comme le véritable porte-drapeau des technologies électrifiées du groupe PSA. Deux lignes de force conduisent à cette stratégie : l’efficience dans l’utilisation de l’énergie et le plaisir de conduire. Nous pensons qu’à échéance 2025, il n’y aura pas de capacité de moteur thermique qui ne pourra pas être dépassée par un hybride ou électrique. C’est aussi à cette échéance que les courbes de TCO de modèles électrifiés et thermiques devraient se croiser », explique Yves Bonnefont, directeur de la marque. DS Automobiles répond ainsi aux critiques faites sur les motorisations proposées, jugées insuffisantes pour s’imposer face aux « Premium », notamment allemands et leurs blocs 6 et 8 cylindres. Et ce, tout en se donnant les moyens de se conformer aux objectifs drastiques imposés aux constructeurs en matière d’émissions de CO2. « Rien qu’à échéance 2020–2021, nous devrons réaliser 15 à 25 % de nos ventes en électrifié pour remplir notre mission des 95 g/km 3 de CO2 », a précisé Xavier Mestelan Pinon. En 2025, le constructeur ambitionne de réaliser 35 % de ses ventes via ses modèles électrifiés. Ce déploiement est étroitement lié à la capacité des pouvoirs publics à développer l’infrastructure nécessaire. « Nous sommes entrés dans une période où le moteur à combustion a, au mieux, des problèmes de communication, ou, au pire, un problème de fond. Sans compter les obligations qui émanent des gouvernements. Cette transition est donc inévitable malg ré toutes les interrogations », affirme Yves Bonnefont. (JOURNALAUTO.COM 30/4/18)

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2 mai 2018 3 02 /05 /mai /2018 06:10
EN AVRIL, LE MARCHÉ AUTOMOBILE EXPLOSE, PEUGEOT EN TÊTE
En avril, le marché automobile explose, Peugeot en tête
Les immatriculations de voitures neuves en France ont progressé de 9% en avril en données brutes par rapport à avril 2017, a annoncé mardi le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). /Photo d'archives/REUTERS/Eric Gaillard Thomson Reuters

Le groupe PSA se porte particulièrement bien, boosté par les ventes d'Opel et de sa DS.

Les immatriculations de voitures neuves en France ont progressé de 9% en avril en données brutes par rapport à avril 2017, a annoncé mardi le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). Il s'est immatriculé 187.399 voitures particulières neuves le mois dernier dans l'Hexagone. En mars, le marché avait progressé de 2,2%, donnant une hausse cumulée de 2,9% sur trois mois.

Avec les chiffres d'avril, les immatriculations de voitures neuves en France ressortent désormais en hausse de 4,4% sur les quatre premiers mois de l'année.Le marché automobile français a joui l'an dernier d'une croissance de 4,7% à 2,11 millions d'unités, tiré par l'embellie des perspectives économiques et l'engouement pour les nouveaux SUV que proposent désormais presque toutes les marques.

En 2016, la croissance avait atteint 5,1%, après +6,8% en 2015 et auparavant cinq années de stagnation ou de baisse consécutives au contrecoup de la fin des primes à la casse décidées face à la crise de 2008-2009. Le marché devrait connaître en 2018 une nouvelle année de croissance, mais à un rythme moins rapide. L'Observatoire Cetelem de l'automobile attend ainsi une hausse de 3,8% à 2,2 millions des immatriculations de voitures neuves en France sur l'année tandis que le CCFA, plus prudent, anticipe un marché en hausse d'environ 2%.

En avril, les immatriculations du groupe PSA, qui regroupe maintenant les marques Peugeot, Citroën, DS et Opel/Vauxhall, ont bondi de 20,3% tandis que celles du groupe Renault (marques Renault, Dacia et Alpine) ont enregistré une hausse de 11,1%.

La marque PSA a été tirée vers le haut par le succès de sa DS, laquelle a pris 68,59% à elle seule avec 2.630 voitures vendues. Mais c’est Peugeot qui reste toujours en tête avec 34.576 immatriculations, soit un gain de 11,96 %. Citroën bascule en revanche, avec une diminution assez nette de l’ordre de – 4,93 %.

En France, la marque Opel a également participé aux bons résultats de PSA, avec 6.305 voitures neuves vendues. Opel avait été vendue par General Motors à PSA en mars 2017 pour un montant de 1,3 milliard d’euros. Dans l’Hexagone, les groupes français représentent toujours une majorité des parts de marchés, puisqu’ils en détiennent 58%.C’est toujours Volkswagen qui reste très présent sur le territoire français avec à lui seul 12,14% des parts de marché sur les 42 % détenus par des groupes étrangers.

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2 mai 2018 3 02 /05 /mai /2018 05:58
 

Face aux fortes prévisions de vente de la C5 Aircross, qui doit être produite à Rennes, la direction de PSA envisage de transférer à Sochaux une partie de la production de la Peugeot 5008, elle aussi très demandée. Une bonne nouvelle pour les salariés du site rennais même si, pour l'heure, aucune embauche en CDI ne semble à l'ordre du jour.

PSA ne connaît plus la crise. La direction du groupe automobile a confirmé ce mercredi matin aux syndicats, lors d'un comité d'établissement, étudier la possibilité de déplacer une partie de la production de l'usine de Janais, au sud de Rennes, sur un second site. «C'est une bonne nouvelle, il s'agit du succès commercial d'un véhicule et de notre capacité à répondre à la demande», indique-t-on chez PSA. Le constructeur se voit obligé d'ajuster son dispositif de production, notamment pour faire face au «succès commercial établi de la Peugeot 5008 et à la perspective de montée en puissance de la future Citroën C5 Aircross», précise-t-on dans un communiqué. «Pour l'instant rien n'est acté, une étude est lancée afin de répartir l'excédent capacitaire de production de la Peugeot 5008 sur un second site», précise le groupe. En l'occurrence, il s'agirait de celui de Sochaux.

Pourquoi Sochaux?

Le choix potentiel de Sochaux s'explique par le fait que ce site fabrique déjà la 3008 qui a «un certain nombre de fournisseurs» et de nombreuses pièces en commun avec la 5008, a souligné la direction de cette usine dans un communiqué. Sochaux tournant déjà à pleine cadence, l'accueil de volumes de 5008 impliquera soit des embauches, soit le transfert d'une partie de sa production sur un autre site PSA, selon les syndicats de l'usine. Dans cette seconde hypothèse, les véhicules Grandland X d'Opel fabriqués à Sochaux seraient affectés à une usine de la filiale allemande de PSA, vraisemblablement celle d'Eisenach, menacée de suppressions d'emplois, ont-ils poursuivi. La direction de PSA Sochaux n'a pas commenté ce scénario, se bornant à indiquer par voie de communiqué qu'elle «engage une étude pour déterminer l'organisation optimale afin de faire face à l'éventualité» de la production de véhicules 5008.

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24 avril 2018 2 24 /04 /avril /2018 12:19

En volume, les ventes du groupe progressent de 44,2 % au premier trimestre.

Le constructeur automobile français a écoulé plus d'un million de véhicules au cours des trois premiers mois de l'année. Les ventes sont particulièrement dynamiques en Europe.

Le constructeur automobile PSA a publié ce mardi un chiffre d'affairesen hausse de 42,1 % à 18,2 milliards d'euros pour le premier trimestre, dopé par l'intégration d'Opel Vauxhall. Mais même sans cette opération (le rachat de Vauxhall a été bouclé l'été dernier), le chiffre d'affaires de la division automobile, avec les trois marques Peugeot, Citroën et DS, affiche une solide progression de 13,3 %, à 10,2 milliards d'euros.

Et surtout,  le constructeur automobile affiche des performances commerciales particulièrement dynamiques. En volume, les ventes du groupe (toutes marques confondues et en prenant en compte Vauxhall) progressent de 44,2 % pour atteindre 1,05 million de véhicules vendus. Un niveau jamais atteint sur cette période de début d'année.

Des ventes en hausse dans toutes les régions

« Les volumes de ventes mondiales du premier trimestre 2018 sont en hausse dans toutes les régions », souligne notamment le constructeur automobile dans son communiqué. Elles sont plus particulièrement dynamiques en Europe où elles bondissent de 65,7 % et où le groupe gagne en parts de marché (+0,7 point).

Elles progressent de 33,6 % en Inde/pacifique, et d'un peu plus de 12 % en Eurasie et en Amérique latine. Elles sont par contre moins vives au Moyen-Orient et en Afrique (+6,4 %), ainsi qu'en Chine et Asie du Sud-est (+1,8 %).

Mais c'est une amélioration certaines si l'on garde en tête que les ventes s'étaient écroulées de 37% l'an dernier, en Chine. Par marque, les volumes écoulés par Citroën en Chine ont bondi de 40,6%. Cependant, ceux de Peugeot ont encore baissé de 13,6%, alors que la marque aux aspirations haut de gamme DS a continué de s'effondrer, avec 57,7% d'unités vendues en moins par rapport à la même période de l'an dernier.

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23 avril 2018 1 23 /04 /avril /2018 05:35

Au fil des mois, le groupe PSA déroule la modernisation et l’évolution de sa gamme de moteurs essence et diesel, en attendant l’arrivée annoncée en 2019 et 2020 des groupes propulseurs hybrides et électriques.
Après être arrivé sous les capots des 308, 3008 et 5008 mais aussi avant d’être présent sous le capot de la nouvelle 508 et des trois ludospaces du groupe (Rifter/Berlingo/Combo), le nouveau moteur 1.5 L BlueHDi prend place sous le capot du cousin germain du 3008, l’Opel Grandland X sous le nom d’Ecotec Diesel.

 

Avec l’arrivée de ce nouveau bloc diesel, le Groupe PSA ne fait qu’appliquer sa politique d’harmonisation des productions Opel avec celles des trois marques françaises que sont Peugeot, Citroën et DS Automobiles .

Ainsi, dès à présent et pour l’instant uniquement avec le niveau de finition le plus élevé, le Grandland X va pouvoir profiter du tout récent bloc moteur L4 1.5 L BlueHDi dans sa configuration 130 ch.

Cette motorisation vient compléter l’offre actuelle faite des moteurs 1.2 L THP Puretech 130, 1.6 L HDi 120 ch et 2.0 L BlueHDi 177 ch. On imagine d’ailleurs qu’à moyen terme, 1.5 L Ecotec Diesel chez Opel remplacera le 1.6 L Diesel (né 1.6 L HDi). En effet, le L4 1.5 L Ecotec Diesel est prévu pour passer les normes des prochaines années ce qui n’est pas le cas du 1.6 L Diesel.

Ce bloc 1,6 L Ecotec Diesel délivre la puissance de 130 ch à 3750 trs/min et 300 Nm de couple à 1750 trs. Ce groupe propulseur profite du système S&S, de l’AdBlue et est homologué Euro 6d. Il peut être associé à une BVM6 ou à la nouvelle BVA8 (née EAT8 chez PSA).
Ce moteur annonce une consommation mixte NEDC de 4.2 L/100 km et des émissions de CO2 qui s’établissent à 109 g/km avec la BVA8 et 110 g/km avec la BVM6.
Opel n’indique pas pour l’instant la Vmax et le temps réalisé sur le 0 à 100 km/h mais par extrapolation des chiffres connus pour les autres versions, on imagine une Vmax se situant aux environs de 190-193 km/h et un exercice du 0 à 100 km/h plié en un peu moins de 11.0 secondes.

Si la BVA8 est disponible sur cette nouvelle version, le Grandland X Ecotec Diesel 130 ch reste un SUV « Traction » sans beaucoup de velléités en hors piste. Opel propose donc cette motorisation uniquement avec la finition haut de gamme Ultimate.
Cette version est plutôt bien dotée avec notamment en série des jantes alu en 19 pouces chaussées en 235/50 R19, une belle dotation d’origine en aides et assistances à la conduite mais aussi un système d’infotainment complet et mis à jour, des phares à leds ou une sellerie en cuir Harlequin/Nemo clair (gris qui donne de la clareté à l’habitacle).

Le prix officiel annoncé (hors option) est fixé à à 36.250€ pour la version avec BVM6 et 37.950€ pour celle équipée de la BVA8. Le modèle est d’ores et déjà disponible à la vente dans le réseau Opel.

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